Giacobbe Giusti, Pietro LORENZETTI – Crucifixion, Basilica of Saint Francis of Assisi

 

Giacobbe Giusti, Pietro LORENZETTI – Crucifixion, Basilica of Saint Francis of Assisi

 

Giacobbe Giusti, Pietro LORENZETTI – Crucifixion, Basilica of Saint Francis of Assisi

The Crucifixion is a fresco by Pietro Lorenzetti, part of the Stories of the Passion of Christ in the left transept of the lower Basilica of San Francesco in Assisi. The cycle can be dated to approximately 1310-1319.

Giacobbe Giusti, Basilica inferiore di San Francesco d’Assisi

Dennis Jarvis – flickr

 

The lower basilica of San Francesco d’Assisi is one of the two structures that make up the Basilica of San Francesco in Assisi, together with the upper basilica. Equipped with a crypt (containing the remains of the saint and his closest confreres) and beautifully frescoed by some of the greatest Italian artists of the fourteenth century, it is accessed from the lower square of San Francesco, through a portal that leads to of the slope of the hill, on the left side of the nave.

Giacobbe Giusti, Master of Saint Francis, Francis_preaching_the_birds.fresco

• public domain
• Francis preaching the birds.fresco. master of st francis. Assisi.jpg

 

Chiara Frugoni, Pietro e Ambrogio Lorenzetti, in Dal Gotico al Rinascimento, Scala, Firenze 2003

https://it.wikipedia.org/wiki/Maestro_di_San_Francesco

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Giacobbe Giusti, PAOLO UCCELLO: La Thébaïde

Giacobbe Giusti, PAOLO UCCELLO: La Thébaïde

 

Giacobbe Giusti, PAOLO UCCELLO: La Thébaïde

La Thébaïde

ou La Vie des saints pères

Giacobbe Giusti, PAOLO UCCELLO: La Thébaïde

Artiste	Paolo Uccello
Date	vers 1460
Technique	tempera sur toile
Dimensions (H × L)	83 × 118 cm
Localisation	Galleria dell’Accademia, Florence(Italie)

Giacobbe Giusti, PAOLO UCCELLO: La Thébaïde

 

Détail : L’Apparition de la Vierge à saint Bernard de Clairvaux.

La Thébaïdeou La Vie des saints pères(en italien : Scene della vita di santi e di alcuni monaci ) est une peinture en tempera sur toile de 83 × 118 cm de Paolo Uccello, datable de 1460 environ et conservée à laGalleria dell’Accademia de Florence.

Histoire

La peinture provient ducouvent San Giorgio alla Costa en Oltrarno à Florence, en cohérence avec toutes les peintures de la vie monastique de Paolo Uccello (Scènes de la vie monastiqueau cloître de San Miniato al Monte). Il fut retrouvé ensuite dans les fonds des Offices. Malgré plusieurs hésitations le tableau fut finalement bien attribué, comme il le fut à l’origine, à Paolo Uccello, appuyé par les comparaisons stylistiques du Miracle de l’hostie profanée, la prédelle du retable du Corpus Domini d’Urbino.

Thème

La Thébaïde est, dans l’acception chrétienne, la région désertique de Thèbes, en Égypte, une image du lieu où se retirèrent des hommes pieux, solitaires, ceux-là mêmes qui ont donné naissance au monachisme.

L’iconographie chrétienne se sert de ce terme pour exposer, indifféremment, les lieux de vie des ermites, en une seule unité spatiale, ici le prétexte à rassembler des épisodes de la vie des saints Jérôme de Stridon, François d’Assise, Bernard de Clairvaux, Benoît de Nursie, et d’autres scènes plus prosaïques de la vie en général des moines.

Description

Le tableau de 83 × 118 cm (ratio de 1,4, soit celui de la « porte d’harmonie ») permet de reconnaître plusieurs scènes :

• Saint François recevant les stigmates du Christ en séraphin (au milieu du haut),
• Saint Jérôme dans sa grotte adorant le crucifix dans sa grotte (au centre),
• L’Apparition de la Vierge à saint Bernard de Clairvaux (en bas à gauche),
• Saint Benoit prêchant à ses moines (en bas à droite),

D’autres éléments sont à distinguer :

• des flagellants autour du Christ en croix (en haut à gauche),
• deux jeunes hommes à la porte d’un couvent avec un moine qui les accueille (à droite de la précédente scène),
• deux moines et une nonne dans une grotte (sous la précédente scène),
• plusieurs moines montant le chemin de prière taillé dans la roche (émergeant aux flagellants et au Christ en croix),
• un moine portant bâton et houe près d’un âne portant sa charge et broutant l’herbe (au centre bas),
• Le séraphin dans le ciel tourmenté surmonte un paysage de ville fortifiée, d’églises, de champs régulièrement cultivés, d’un monastère avec, devant, deux moines en contemplation (en haut à droite).

Analyse

La tradition gothique se fait encore sentir dans ce tableau avec ces scènes toutes rassemblées, non dans un espace cohérent, mais dans un rassemblement historique (privilégiant la storia), la somme des lieux d’événements temporellement distants¹. La schématisation des arbres, les roches très stylisées (comme chez Fra Angelico), la perspective de chacun des lieux trouant le décor, la palette terne seulement ponctuée, égayée de rouge (couleur de la Passion) tous éléments qui renforcent cette inscription gothique,

Notes et références

1. ↑ Daniel Arasse

Bibliographie

• Franco et Stefano Borsi, Paolo Uccello, trad. française Hazan, 1992
• (it)Annarita Paolieri, Paolo Uccello, Domenico Veneziano, Andrea del Castagno, Scala, Florence, 1991. (ISBN 88-8117-017-5)

Anecdote

Cette œuvre a connu ces dernières années un regain d’intérêt insolite, une certaine littérature affirmant qu’il renfermait la représentation d’un objet volant non identifié. Les historiens de l’art eurent tôt fait de démontrer que l’objet en question n’était qu’une simple coiffe de cardinal, le chapeau cardinalice, le galero rouge à houppes au pied du saint Jérôme en prière.

Les peintures de Paolo Uccello au Chiostro Verde de Santa Maria Novella

 

https://fr.wikipedia.org/wiki/La_Th%C3%A9ba%C3%AFde_(Paolo_Uccello)

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Giacobbe Giusti, PARENTE di GIOTTO: Saint François choisissant la pauvreté, Fresque d’Assise

Giacobbe Giusti, PARENTE di GIOTTO: Saint François choisissant la pauvreté, Fresque d’Assise

 

 

Giacobbe Giusti, PARENTE di GIOTTO: Saint François choisissant la pauvreté, Fresque d’Assise

Saint François choisissant la pauvreté, Fresque d’Assise

Parente di Giotto est le nom attribué par l’historien de l’art Giovanni Previtali à un élève de Giotto très proche du maître, qui aurait travaillé pour lui aux décorations de la basilique Saint-François d’Assise sur une commande qu’il n’aurait pu réaliser lui-même.

Identification probabl

Certains critiques d’art l’identifient (Maestro oblungo pour Adolfo Venturi, Maestro del polittico Stefaneschi pour Richard Offner et Millard Meiss, Maestro del polittico di S. Reparata pour Roberto Longhi et Parente di Giotto pour Giovanni Previtali) avec le mystérieux Stefano Fiorentino, cité par Vasari comme élève très talentueux, mais dont on ne connaît aucune œuvre certaine préservée.

Certaines œuvres pourraient être de sa main : comme le grand crucifixde l’église d’Ognissanti, le diptyque avec la Crucifixion et la Vierge à l’Enfant trônant avec des saints et des vertus (musée de Strasbourg et collection particulière à New York), la Crucifixion de Berlin et les fresques des Miracles de saint François après sa mort (église inférieure, transept droit de la basilique d’Assise).

Articles connexes

• Les Maîtres anonymes

Parente di Giotto sur Commons

Sources

• (it) Cet article est partiellement ou en totalité issu de l’article de Wikipédia en italien intitulé « Parente di Giotto » (voir la liste des auteurs).
• G. Previtali, Giotto e la sua bottega, Milano 1967, pp. 87-100.
• Edi Baccheschi, L’opera completa di Giotto, Rizzoli, Milano 1977. ISBN non esistente
• Luciano Bellosi, Giotto, in Dal Gotico al Rinascimento, Scala, Firenze 2003.

 

https://it.wikipedia.org/wiki/Parente_di_Giotto

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Giacobbe Giusti, SANDRO BOTTICELLI: La Calomnie d’Apelle, Galerie des Offices, Florence

Giacobbe Giusti, SANDRO BOTTICELLI: La Calomnie d’Apelle, Galerie des Offices, Florence

 

 

Giacobbe Giusti, SANDRO BOTTICELLI: La Calomnie d’Apelle, Galerie des Offices, Florence

La Calomnie d’Apelle (La Calunnia di Apelle) à la Galerie des Offices de Florence

Artiste	Sandro Botticelli
Date	vers 1495
Type	Tempera sur bois
Dimensions (H × L)	62 × 91 cm
Mouvement	Première Renaissance
Localisation	Galerie des Offices, Florence ( Italie)

La Calomnie ou la Calomnie d’Apelle (en italien : La Calunnia di Apelle) est un tableau de Sandro Botticellipeint aux alentours de 1495pour Antonio Segni, un banquier florentin. Cette œuvre d’art, réservée à un public d’esthètes initiés lors de sa conception, est conservée à Florence, dans la Galerie des Offices.

Cette peinture dont le sujet est la calomnie, est une allégorie. Les allusions mythologiques sont nombreuses : sur les frises dorées, sur les statues antiques, et bien sûr, par les personnages eux-mêmes. Contrairement à ce que l’on pourrait croire le personnage ici calomnié n’est pas Apelle de Cos (le peintre grec auteur de La Calomnie) mais est comme tous les autres personnages une allégorie.

Description des personnages

De gauche à droite, on observe :

• En retrait :
  • Une jeune femme nue, pointant le doigt au ciel ;
  • Une vieille femme en toge noire, la toisant, et avançant ses deux poignets croisés vers l’homme à terre.

• Dans la cour de justice :
  • Un homme à terre vêtu seulement d’un pagne, les mains en prière ;
  • Une femme richement vêtue, tenant une torche et tirant le précédent par les cheveux ;
  • Deux femmes la coiffant ;
  • Un homme en guenilles, raidi, son bras tout droit vers le visage de l’homme de l’autel, son autre bras tenant le poignet de la femme richement vêtue.

• Sur l’autel :
  • Un homme au visage accablé, les yeux fermés, assis sur le trône ; en observant bien le détail, ses oreilles d’âneapparaissent : c’est un mauvais juge ;
  • Deux femmes lui susurrant des mots aux oreilles, de part et d’autre.

• 

  Détail du juge influencé

• 

  Détail de La Calomnie

• 

  Détail des personnages en retrait

Analyse du tableau

Son titre provient de la description d’un tableau d’Apelle de Cos qui a vécu au iv^e siècle av. J.-C. qui est perdu mais dont il subsiste une description faite par Lucien de Samosate¹.

Identification des personnages

La peinture comprend neuf figures allégoriques parmi les personnages de l’avant-scène. Leur identification reste du domaine de l’interprétation, les allégories étant toutes des abstractions personnifiées renvoyant à des idées.

• En retrait :
  • Une jeune femme : la Vénus invoque la Vérité céleste ;
  • Une vieille femme en toge : représente la Pénitence, ou le Remords².

• Dans la cour de justice :
  • Un homme à terre : Le Calomnié
  • Une femme richement vêtue : la Calomnie ;
  • Deux femmes la coiffant :
    • La Séduction et la Fourberie, maquillent la Calomnie pour l’apprêter ;
    • Autre interprétation : le Piège et la Fraude²
  • Un homme en guenilles : la Haine vindicatrice, ou l’Envie²

• Sur l’autel :
  • Un homme au visage accablé : le roi Midas influencé ;
  • Deux femmes lui susurrant des mots :
    • Le Soupçon
    • La Duperie ou l’Ignorance²

Identification des statues

En arrière-plan figurent des statues posées dans des alcôves.

• Statue à l’extrême droite, derrière Midas : Judith avec la tête d’Holopherne, tranchée à ses pieds (thème : Judith et Holopherne) ;
• Statue au-dessus de la Calomnie : David, ou Thésée ;
• Autres statues : Jupiter et Antiope ; Minerve et la tête de Méduse².

Identification des frises dorées

Les murs de la cour de Justice sont couverts de bas reliefs de métal précieux.

• Frise au-dessus de la Vérité : combats de centaures ou centauromachie ;
• Frise au-dessus de la Pénitence : rencontre d’Ariane et de Bacchus ;
• Frise en dessous de Midas : la famille des centaures².

Évolution de la Vénus de Botticelli

Apelle, peintre de l’Antiquité, attira Sandro Botticelli par ses œuvres sur le thème de la Vénus sortie des eaux, étudié énormément par le peintre de la Renaissance. On retrouve d’ailleurs Vénus en tant que personnage le plus à gauche de la Calomnie, sous la forme de la Vérité nue, invoquant le jugement du Ciel par son doigt levé.

Botticelli en vient donc à conter un épisode supposé de la vie d’Apelle, l’histoire d’un rejet de la part de ses pairs. Il est fortement probable que le message qu’il voulut donner s’adressait à ses contemporains, et s’appliquait à son époque.

Illustrant cette dureté, la Vénus a perdu ses formes et belles rondeurs dont Sandro l’avait dotée lors de sa naissance. Cette évolution, peut-être indépendante du reste du tableau, est vraisemblablement le résultat de l’influence de Savonarole sur le peintre, qui alla jusque mettre au pilori certaines peintures de sa période précédente pour mieux se mettre en accord avec ses nouveaux crédos.

Notes et références

1. ↑ Lucien de Samosate, Portraits du sophiste en amateur d’art, texte édité par Sandrine Dubel, p. 86-90, : Qu’il ne faut pas croire légèrement à la délation, Editions d’Ulm
2. ↑ ^{a b c d e et f} Site avec analyse du tableau [archive]

• Les œuvres de Botticelli aux Offices de Florence

• Apelle, le peintre antique, dont le tableau est une reprise de son œuvre La Calomnie
• Sandro Botticelli

• La Calomnie d’Apèles, 1495 [archive] – Web Gallery of Art
• Analyse de La Calomnie d’Apèles [archive] – Institut provincial des Arts et Métiers de Nivelles (Belgique)

Livres

• DUVERNE Marie-Paule, Galerie de Poche : Botticelli, Paris, Gründ, 2002 (version originale : CARVALHO DE MAGALHAES Roberto) Pages 34-35
• TOSONE Augusta, Galerie des Offices : Guide Officiel, toutes les œuvres, Florence, Giunti, 2009 (traduction : ASTE Henri (lexique), CAREDDA Valeria et CHEVALLIER Delphine) Pages 7
• Auteur anonyme, Botticelli, Cinisello Balsamo (Milan), Scala, 2010, Pages 73-74

[masquer] v · m Sandro Botticelli (1445-1510)
Entourage et mécènes	Fra Filippo Lippi • Filippino Lippi • Michel Marulle • Julien de Médicis • Laurent de Médicis • Laurent II de Médicis • Michel-Ange • Flavius Mithridate • Pic de la Mirandole • Ange Politien • Savonarole • Sixte IV • Simonetta Vespucci • Léonard de Vinci
Portraits	Jeune homme (Florence) (1470) • Homme avec médaille (1474) • Esmeralda Brandini (1475) • Catherine Sforza (1475) • Simonetta Vespucci (1476-1480) • Julien de Médicis (Washington) (1478-1480) • Jeune homme (Washington) (1482-1485) • Jeune homme (Londres) (1483) • Jeune homme (Paris) (1475-1500) • Jeune femme (Francfort) (1480-1485) • Jeune femme (Florence) (1485) • Lorenzo Lorenzi (1490-1495) • Dante (1495)  • Michel Marulle (1497)
Œuvres profanes	Pallas et le Centaure (1482) • Le Printemps (1482) • Vénus et Mars (1483) • Nastagio degli Onesti (I), (II), (III), (IV) (1483) • La Naissance de Vénus (1485) • Fresques de la villa Tornabuoni (1483-1486) • La Calomnie d’Apelle (1495) • Virginie Romana (1498) • La Tragédie de Lucrèce (1498)
Scènes bibliques	Le Retour de Judith à Béthulie (1470) • La Découverte du cadavre d’Holopherne (1470) • Retable de Saint-Ambroise (1470) • L’Adoration des mages (Florence) (1475) • Scènes de l’histoire d’Esther (1475) • L’Annonciation de San Martino alla Scala (1481) • Les Épreuves de Moïse (1481-1482) • La Punition des rebelles (1481-1482) • La Tentation du Christ (1481-1482) • L’Adoration des mages (Washington) (1482) • L’Annonciation du Cestello (1489-1490) • La Nativité (1488-1490) • Retable de San Marco (1488-1492) • La Lamentation sur le Christ mort (Munich) (1490-1495) • La Lamentation sur le Christ mort (Milan) (1490-1495) • La Nativité mystique (1500-1501)
Madones	La Vierge à l’Enfant (1467) • La Vierge de la loggia (1467) • La Vierge à l’Enfant avec deux anges (1468-1469) • La Vierge à l’Enfant avec deux anges et Jean-Baptiste (1468-1470) • La Vierge à la roseraie (1469-1470) • La Vierge et l’Enfant avec le jeune saint Jean-Baptiste (1470-1475) • La Madone de l’Eucharistie (1470) • La Madone Bardi (1480) • La Madone du livre (1480) • La Madone du Magnificat (1481) • La Vierge à la grenade (1487) • La Madone du pavillon (1493)
Autres œuvres religieuses	La Force (1470) • Saint Sébastien (1474) • Saint Augustin (Ognissanti) (1480) • Saint Augustin (Offices) (1490-1494) • Divine Comédie (1485-1490) • La Dernière Communion de saint Jérôme (1494-1495) • Saint Jérôme (v. 1500) • Scènes de la vie de saint Zénobe (1500-1505)
Auteurs (xxe et xxie siècles)	Cristina Acidini Luchinat • Daniel Arasse • Giulio Carlo Argan • Umberto Baldini • Chiara Basta • Bernard Berenson • Horst Bredekamp • Marcel Brion • André Chastel • Sophie Chauveau • John Pope-Hennessy • Aby Warburg • Frank Zöllner

• 

• Tableau de Sandro Botticelli
• Tableau des années 1490
• Représentation allégorique dans l’art
• Mythologie gréco-romaine dans la peinture
• Œuvre conservée à la Galerie des Offices

https://fr.wikipedia.org/wiki/La_Calomnie_d%27Apelle_(Botticelli)

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Giacobbe Giusti, CIMA da CONEGLIANO: Madonna dell’arancio, Gallerie dell’Accademia de Venise

Giacobbe Giusti, CIMA da CONEGLIANO: Madonna dell’arancio, Gallerie dell’Accademia de Venise

Cima da Conegliano, né Giovanni Battista Cima (Conegliano 1459 – Conegliano 1517), est un peintre vénitien de la Renaissance de l’école vénitienne.

Biographie

Seuls de rares documents permettent de reconstituer la vie du peintre. La date de naissance de l’artiste (1459 ou 1460) n’est pas établie, mais déduite des registres de Conegliano de 1473, qui mentionne un cimator (ouvrier drapier) nommé Joannes, mais est-ce lui, ou bien un ouvrier de son frère Antonio ? Joannes est un prénom courant. Si c’est bien le peintre, il devait avoir à ce moment quatorze ans, puisque c’est l’âge où il a commencé à payer des impôts, selon les lois de la ville.

On ne sait rien sur sa formation en peinture avant 1489, date de sa première œuvre qu’il signe et date (vierge à l’enfant entre saint Jérôme et saint Jacques). À ce moment-là, il vit à Venise où il est « maître », ce qui sous entend qu’il a son propre atelier avec au moins un apprenti.

Vasari dit de lui qu’il fut l’élève de Giovanni Bellini, qu’il est mort jeune et que sans cela il aurait probablement égalé son maître.

L’année 1494 voit quelques paiements effectués à l’artiste. Les autres paiements remontent à 1499, 1504 et 1510.

Entre 1500 et 1515, il a probablement vécu entre Venise et la région de l’Émilie. À Parme, Bologne, des œuvres lui ont été commandées pour les églises, comme la Vierge et l’Enfant, des saints Michel et André en 1505 et la Conversation sacrée en 1513.

Sa présence à Conegliano, où il a passé les étés, est documentée pour la dernière fois en 1516. Il meurt entre 1517-1518, probablement à Conegliano, où il existe aujourd’hui un musée Giovanni Battista Cima.

Œuvres

Une centaine d’œuvres lui sont attribuées¹, dont une trentaine de retables², 4 polyptyques, 2 triptyques, 19 Vierge à l’Enfant, dix-huit Conversation sacrée, 5 Jérôme au désert.

Avant 1490

• Vierge à l’Enfant avec Saint Jean-Baptiste et Saint François, 1478-1488, Huile sur chêne, Museum Kunstpalast, Düsseldorf
• Vierge à l’Enfant avec saint Paul et saint François , 1488-93, Nivaagaards Malerisamling³
• Vierge en majesté avec saint Jacques l’apôtre et saint Jérôme, 1489, Pinacotèque du Palais Chiericati, Vicence Pinacothèque Vicenza [archive]

• 

  Conversation sacrée

  (1478-1488) Düsseldorf

• 

  Conversation sacrée

  (1488-1493) Niva, Danemark

• 

  Conversation sacrée

  (1489) Vicence

De 1490 à 1500

• Le Couronnement de la Vierge v. 1490, huile sur toile, restauration en 1999. San Zanipolo Venise
• Vierge à l’Enfant couronnés avec des saints et des saints patrons(Conversation sacrée avec les saints Sébastien, Jean-Baptiste, Madeleine, et Roch), v. 1490, huile sur toile, 301 × 211 cm, Pinacothèque de Brera, Milan
• Saint Jean-Baptiste entre saint Pierre, saint Marc, saint Jérôme et saint Paul (retable de saint Jean-Baptiste), 1491-1492, bois, 305 × 205 cm, Gallerie dell’Accademia de Venise, peint pour l’église de la Madonna dell’Orto⁴
• Saint Jérôme au désert , 1492, huile sur toile, National Gallery (Londres)
• Baptême du Christ, 1494, bois, 350 × 210 cm, San Giovanni in Bragora, Venise
• Vierge à l’Enfant avec deux vierges martyres, 1495, tempera sur bois, Memphis Brooks Museum of Art⁵, Tennessee
• Annonciation, 1495, Tempera et huile sur toile, 136,5 cm × 107 cm, musée de l’Ermitage à Saint-Pétersbourg
• Vierge à l’Enfant avec saint Jérôme et saint Jean-Baptiste, 1495, huile sur toile, 105 cm × 146 cm, National Gallery of Art, Washington
• Vierge à l’Enfant avec saint Jérôme et Marie-Madeleine, 1495, taille 79,6 × 122,9 cm, Alte Pinakothek, Munich
• Vierge à l’Enfant en majesté avec les saints Pierre, Romuald, Benoît et Paul, v.1495, huile sur peuplier, 206 × 135 cm, Gemäldegalerie, Berlin
• Vierge à l’Enfant trônant avec les Saints, 1496-1499, peinture sur bois, 419 × 213 cm, Gallerie dell’Accademia de Venise
• La Vierge à l’oranger, 1495, Tempera et huile sur panneau de bois, 212 × 139 cm, Gallerie dell’Accademia de Venise. Provient de Santa Chiara à Murano
• Conversation sacrée, 1496, huile sur toile, 54 cm × 72 cm, fondation Gulbenkian à Lisbonne
• Sainte Hélène, 1498, huile sur toile, 49,5 cm × 20,5 cm, National Gallery of Art de Washington
• La Guérison d’Aniane, 1497-1499, Gemäldegalerie, Berlin
• Vierge à l’Enfant avec saint Michel l’archange et saint André l’Apôtre, 1498-1500, huile sur bois, 194 × 134 cm, Galerie nationale de Parme
• Polyptyque Miglionico, fin du xv^e siècle, basilique Santa Maria Maggiore, Miglionico, Basilicate.
• Imago Pietatis, fin du xv^e siècle, palais de Wilanów
• Thésée tuant le Minotaure, fin xv^e siècle, huile sur panneau, 38 × 31 cm, Museo Poldi Pezzoli, Milan⁶

• 

  Couronnement de la Vierge 
  1490, Venise
• 

  Conversation sacrée
  1490, Milan
• 

  Saint Jérôme au désert 
  1492, Londres
• 

  Le baptême du Christ, 1493-94. Huile sur panneau, 350 × 210 cm. San Giovanni in Bragora

• 

  Madonna dell’arancio1495 Gallerie dell’Accademia de Venise

• 

  Conversation sacrée
  1495, Memphis
• 

  Conversation sacrée
  1495, Munich
• 

  Conversation sacrée
  1495, Berlin
• 

  Vierge à l’Enfant trônant avec les Saints
  1496-99, Gallerie dell’Accademia de Venise
• 

  La Fuite en Égypte
  1496, Lisbonne

De 1500 à 1510[modifier | modifier le code]

• Vierge à l’Enfant avec les saints Jean-Baptiste et Nicolas de Tolentino, v. 1500, tempera et huile sur peuplier, 72,1 × 111,1 cm, Brooklyn Museum, New York
• Présentation de la Vierge Marie au Temple, 1500, huile sur toile, Staatliche Kunstsammlungen de Dresde
• Sant’Elena e Costantino ai lati della Croce, 1501-1503, Église San Giovanni in Bragora Venise
• Sainte Catherine d’Alexandrie, 1502, Wallace Collection, Londres
• Vierge à l’Enfant, 1504, tempera sur bois, 66 × 57 cm, Musée des Offices, Florence où l’Enfant tient le pouce de sa mère⁷
• Vierge à l’Enfant, 1505, huile sur toile, 69,5 cm × 57 cm, National Gallery (Londres)
• L’Incrédulité de saint Thomas et l’évêque saint Magne, v. 1505, bois, 215 × 151 cm, Gallerie dell’Accademia de Venise. Vient de la Scuola dei Mureri à San Samuele
• Vierge à l’Enfant entre l’archange saint Michel et l’apôtre saint André, 1505, huile sur toile, 194 × 134 cm, Galerie Nationale de Parme
• Vierge à l’Enfant, v. 1505, huile sur toile, 59 × 45 cm, Museum of Fine Arts de San Francisco
• La Nativité (avec sainte Catherine, sainte Hélène, Tobieet l’archange Raphaël), bois, 300 × 185 cm, Gallerie dell’Accademia de Venise. Vient de l’Église Santa Maria dei Carmini
• Conversation sacrée, panneau, 64 × 91 cm, Museum Kunstpalast, Düsseldorf⁸

• 

  Conversation sacrée
  v. 1500, Brooklyn Museum
• 

  Ste Hélène et Constantin aux côtés de la Croix
  1501-1503, Venise
• 

  Conversation sacrée
  1505, Parme
• 

  Incredulità di san Tommaso col vescovo Magno 1505 Gallerie dell’Accademia de Venise

De 1510 à 1518

• Vierge à l’Enfant avec saint François et sainte Claire, 1510, Huile sur bois, 20,3 × 26,7 cm, Metropolitan Museum de New-York
• Vierge à l’Enfant avec saint Georges et saint Jacques, 1510–1511, triptyque, huile sur toile, 114 cm × 52 cm et 110 cm × 39 cm, musée des beaux-arts de Caen
• Descente de Croix , huile sur toile, musée des beaux-arts Pouchkine de Moscou.
• Saint Jérôme au désert, après 1510, bois, 215 × 151 cm, Musée des Offices, Florence⁷.
• La Vierge et l’Enfant entre saint Jean-Baptiste et sainte Marie-Madeleine, Conversation sacrée, 1511-1513, huile sur toile, 167 × 110 cm, musée du Louvre, Paris. Vient de Parme, entré au Louvre en 1812
• Vierge à l’Enfant avec saint Jean l’évangéliste et saint Nicolas de Bari, 1513-18, National Gallery de Londres
• Vierge à l’enfant avec des saints, 1515, Cleveland Museum of Art
• Vierge à l’Enfant avec saint Jean-Baptiste et sainte Catherine, 1515, huile sur bois, 957 × 624 cm, Pierpont Morgan Library, New York
• Vierge à l’Enfant avec les saints Sébastien, François, Jean-Baptiste et Jérôme, v. 1515, huile sur bois, 159 × 2 015 cm, Fogg Art Museum, Cambridge
• Vierge à l’Enfant avec saint Jean-Baptiste et saint Paul, Gallerie dell’Accademia de Venise

• 

  Conversation sacrée
  1510, New York
• 

  Conversation sacrée
  1510-1511, Caen
• 

  Conversation sacrée
  1511, Louvre
• 

  Conversation sacrée
  1513-18, Londres
• 

  Conversation sacrée
  1515, Cleveland
• 

  Conversation sacrée
  1515, Morgan Library, NY
• 

  Conversation sacrée
  v. 1515,Cambridge
• 

  Madone avec Sts J-Baptiste et Paul
  Académie de Venise

1. ↑ ^a et b Villa CF, L’exposition Cima de Conegliano, un virtuose en pleine lumière, L’Objet d’Art, Hors série n^o 61, avril 2012, p. 2-7
2. ↑ Philippon C, Cima da Conegliano, un maître vénitien novateur et influent, L’Objet d’Art, Hors série n° 61, avril 2012, p16-27
3. ↑ Nivaagaards Malerisamling Museum [archive]
4. ↑ Augusto Gentili, « Giovanni Battista Cima da Conegliano », dans Giovanna Nepi Sciré, La Peinture dans les Musées de Venise, Paris, Editions Place des Victoires, 2008(ISBN 978-2-8099-0019-4), p. 150 à 157
5. ↑ Memphis Brooks Museum [archive]
6. ↑ James Stourton, Petits Musées, grandes collections : Promenade à travers l’Europe, Scala, 2003, p.140
7. ↑ ^a et b Mina Gregori, Le Musée des Offices et le Palais Pitti : La Peinture à Florence, Editions Place des Victoires, 2000(ISBN 2-84459-006-3), p. 146
8. ↑ Le Grand Dictionnaire de la Peinture : Des Origines à nos jours, EDDL, 1998 (ISBN 2-23700-329-7), p. Cima, Giovanni Battista
9. ↑ Brouard C, Cima peintre de paesi, l’illuszion d’une campagne amène, L’Objet d’Art, Hors-série n^o 61, avril 2012, p. 32-37
10. ↑ Yacob A, La technique picturale : un usage magistral de l’huile et des couleurs, L’Objet d’Art, Hors-série n^o 61, avril 2012, p. 51-56
11. ↑ Franceschini G, Les rares feuilles de Cima dessinateur, L’Objet d’Art, Hors-série n^o 61, avril 2012, p. 62-63
12. ↑ Site de l’exposition Cima da Conegliano au musée du Luxembourg [archive]

https://fr.wikipedia.org/wiki/Cima_da_Conegliano

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Giacobbe Giusti , PAOLO UCCELLO: Annunciazione

Giacobbe Giusti , PAOLO UCCELLO: Annunciazione

Annunciazione, una delle più antiche opere attribuite a Paolo Uccello, Ashmolean Museum, Oxford

• Paolo d’Ancona: Paolo Uccello. Amilcaro Pizzi Editore, Milano e Anton Schroll, Wien 1959/1960.
• Annarita Paolieri, Paolo Uccello, Domenico Veneziano, Andrea del Castagno, Scala, Firenze 1991. ISBN 88-8117-017-5.
• Pierluigi De Vecchi ed Elda Cerchiari, I tempi dell’arte, volume 2, Bompiani, Milano 1999. ISBN 88-451-7212-0.
• Stefano Zuffi, Il Quattrocento, Electa, Milano 2004. ISBN 88-370-2315-4.
• Mauro Minardi, Paolo Uccello, Rizzoli, Milano 2004.
• Andrea De Marchi e Cristina Gnoni Mavarelli (a cura di), Da Donatello a Lippi, Officina pratese, catalogo della mostra, Skira, Milano 2013. ISBN 978-88-572-2039-0

https://it.wikipedia.org/wiki/Paolo_Uccello

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Giacobbe Giusti, ANDREA MANTEGNA: Madonna and Child with Saints

Giacobbe Giusti, ANDREA MANTEGNA: Madonna and Child with Saints

Giacobbe Giusti, ANDREA MANTEGNA: Madonna and Child with Saints
Artist	Andrea Mantegna
Year	1500
Medium	tempera on panel
Dimensions	61,5 cm × 87,5 cm (242 in × 344 in)
Location	Galleria Sabauda, Turin

The ‘Madonna and Child with Saints is a tempera on panel painting, attributed to Andrea Mantegna, dated to around 1500 and now in the Galleria Sabauda in Turin. Its top left hand corner is badly damaged^[1].

At the Virgin’s knee is the infant John the Baptist, with his cross, camel skin and a scroll reading Ecce Agnus Dei. In the right background are Catherine of Alexandria with her wheel, an old female saint (Anne or Elisabeth) and an old male saint (Joachim or Joseph). On the left are a female saint (possibly Mary Magdalene) and a male saint with a book (possibly John the Evangelist).

References

1. Jump up^ (in Italian) Ettore Camesasca, Mantegna, in AA.VV., Pittori del Rinascimento, Scala, Firenze 2007. ISBN 888117099X

hide v t e Andrea Mantegna

Paintings

St Mark (1448) Ovetari Chapel (1448–1457) The Adoration of the Shepherds (c. 1450–1451) St. Jerome in the Wilderness(c. 1451) San Luca Altarpiece (1453) St. James Led to His Execution (c. 1455) Presentation at the Temple (c. 1455) Agony in the Garden (c. 1458) Crucifixion (1459) Agony in the Garden (c. 1459) Portrait of Cardinal Ludovico Trevisan (c. 1459–1460) St. Bernardino of Siena between Two Angels (1460) Death of the Virgin and Christ Bearing the Soul of the Virgin (c. 1461) Portrait of a Man (c. 1460) Portrait of Francesco Gonzaga (c. 1461) Madonna with Sleeping Child (c. 1470) St. George (c. 1460) San Zeno Altarpiece (1460) St. Sebastian (of Vienna) (c. 1459) Uffizi Triptych (Ascension; Circumcision; Adoration of the Magi) (1462) The Ascension (1462) The Circumcision(1464) Portrait of Carlo de’ Medici (c. 1459–1466) St. Sebastian (of the Louvre) (c. 1480) The Madonna of the Cherubim (c. 1485) Triumphs of Caesar (c. 1486) Christ as the Suffering Redeemer (c. 1488–1500) Lamentation over the Dead Christ (c. 1490) Madonna of the Quarry (1490) St. Sebastian (of Venice) (1490) Resurrection (1492-3) Descent into Limbo (1492-3) Madonna della Vittoria(1496) Judith and Holofernes (1495) Exemplary Women of Antiquity (1495-1500) Sibyl and Prophet (1495-1500) Trivulzio Madonna (1497) Parnassus (Mars and Venus) (1497) Ecce homo (c. 1500) Holy Family (c. 1500) Triumph of the Virtues (c. 1502) The Introduction of the Cult of Cybele at Rome (c. 1505-6)

https://en.wikipedia.org/wiki/Madonna_and_Child_with_Saints_(Mantegna)

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Giacobbe Giusti, PINTURICCHIO: Madonna of Peace

Giacobbe Giusti, PINTURICCHIO: Madonna of Peace

 

Giacobbe Giusti, PINTURICCHIO: Madonna of Peace

 

 

Giacobbe Giusti, PINTURICCHIO: Madonna of Peace

Artist	Pinturicchio
Year	c.1490
Medium	oil on panel
Dimensions	143 cm × 70 cm (56 in × 28 in)
Location	Pinacoteca civica Tacchi-Venturi, San Severino Marche

Madonna of Peace is a oil on panel painting by Pinturicchio, now in the Pinacoteca civica Tacchi-Venturi in San Severino Marche. It is one of the few totally autograph works from the artist’s early mature period.^[1]

Liberato Bartelli gave it to the Duomo in San Severino Marche. He was a native of the city and was then serving as protonotary apostolic and canon of Santa Maria in Trastevere in Rome. At the end of 1488 he was made prior of the church in his home town – he seems to have commissioned the work to commemorate this event. Pinturicchio was then among a new generation of artists working in Rome and probably delivered the work around 1490. He used its figure of the Madonna as a model for later autograph works such as Madonna with the Christ Child Reading (North Carolina Museum of Art) and Madonna with the Christ Child Writing(Philadelphia Museum of Art), both datable to between 1494 and 1498. Other Madonnas derived from it (such as that in the Kress collection (now part of the National Gallery of Art in Washington) are studio works.

References

1. Jump up^ (in Italian) Cristina Acidini, ‘Pintoricchio’, in Pittori del Rinascimento, Scala, Firenze 2004. ISBN 88-8117-099-X

https://en.wikipedia.org/wiki/Madonna_of_Peace_(Pinturicchio)

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Giacobbe Giusti, PAOLO UCCELLO: Storie di Noè

Giacobbe Giusti, PAOLO UCCELLO: Storie di Noè

 

Giacobbe Giusti, PAOLO UCCELLO: Storie di Noè

Storie di Noè
Autore	Paolo Uccello
Data	1447–1448 circa
Tecnica	Affresco trasportato su tela
Dimensioni	215×510 cm
Ubicazione	Santa Maria Novella, Firenze

Il Diluvio

la Recessione delle acque

Le Storie di Noè sono una coppia di affreschidi Paolo Uccello, realizzati verso il 1436–1440 nel Chiostro Verde di Santa Maria Novella a Firenze. Come gli altri affreschi del chiostro sono a monocromo o « verdeterra » (da cui l’appellativo « Verde » del sito) e sono composti da due episodi sovrapposti: nella lunetta il Diluvio e recessione delle acque (215×510 cm) e nel riquadro sottostante il Sacrificio ed Ebbrezza di Noè(277×540 cm). Oggi gli affreschi sono staccati e trasportati su tela, anche se sempre collocati nella posizione originaria^[1].

https://it.wikipedia.org/wiki/Storie_di_No%C3%A8_(Paolo_Uccello)

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Giacobbe Giusti, ANDREA MANTEGNA: L’Agonie dans le jardin ( Londres)

Giacobbe Giusti, ANDREA MANTEGNA: L’Agonie dans le jardin ( Londres)

 

Giacobbe Giusti, ANDREA MANTEGNA: L’Agonie dans le jardin ( Londres)

 

Giacobbe Giusti, ANDREA MANTEGNA: L’Agonie dans le jardin ( Londres)

 

Giacobbe Giusti, ANDREA MANTEGNA: L’Agonie dans le jardin ( Londres)

 

 Giacobbe Giusti, ANDREA MANTEGNA: L’Agonie dans le jardin ( Londres)

Artiste	Andrea Mantegna
Date	Vers 1458–1460
Type	Peinture
Technique	tempera sur panneau
Dimensions (H × L)	63 × 80 cm
Localisation	National Gallery, Londres ( Royaume-Uni)
Numéro d’inventaire	NG1417

L’Agonie dans le jardin est un tableau du peintreitalien Andrea Mantegna peint vers 1458–1460. Il est conservé à la National Gallery de Londres.

Contexte et historique

On ne connaît pas avec exactitude les circonstances de la création de cette petite (63 × 80 cm) peinture, qui est en général étudiée avec L’Agonie dans le jardin (it) de Tours de la prédelle du Retable de San Zeno (1457-1459, conservé à Tours) et L’Agonie dans le jardin (it)de Giovanni Bellini (1459), avec laquelle il y a plusieurs analogies de composition. Les historiens de l’art ne sont pas d’accord sur la chronologie des trois œuvres : si celle de Bellini est en général considérée comme la dernière, certains la considèrent celle de Tours comme étant le modèle initial.

Dans tous les cas, le modèle original semble être un dessin d’Iacopo Bellini, conservé à Londres.

Le tableau a été acquis par le National Gallery en 1894¹.

Description

Le Christ est représenté en haut d’un rocher en prière alors que des anges lui apparaissent, avec les instruments de la passion. Ses disciples dorment à ses pieds. Au fond, Judas apparait avec des soldats pour venir arrêter le Christ. Un vautour et un arbre mort symbolisent la mort prochaine. Les pélicans et de jeunes pousses symbolisent au contraire l’espoir dans l’avenir. La ville de Jérusalem est représentée comme une ville romaine, avec des monuments inspirés de la Rome antique : un Colisée, une colonne avec des bas-reliefs, une statue équestre¹.

Giacobbe Giusti, ANDREA MANTEGNA: L’Agonie dans le jardin ( Londres)

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Œuvres en rapport

Giacobbe Giusti, ANDREA MANTEGNA: L’Agonie dans le jardin ( Londres)

Version du musée des beaux-arts de Tours.

Une autre œuvre du même thème a été peinte par Mantegna quelques années plus tôt : L’Agonie dans le jardin du musée des beaux-arts de Toursdate des années 1457-1459. Il s’agit d’un fragment de la prédelle du retable de San Zenode Vérone. Le British Museum conserve un dessin de Jacopo Bellini, le beau-père de Mantegna qui rappelle l’œuvre de son gendre. Son beau-frère Giovanni Bellini s’est inspiré de lui pour peindre une œuvre toujours sur le même sujet et aujourd’hui conservé aussi à la National Gallery¹.

Bibliographie

• (en) Francis Ames-Lewis, « The « Agony in the Garden » and Mantegna’s treatment of narrative » in Mantegna and Fifteenth-Century Court Culture. Lectures Delivered in Connection with the Andrea Mantegna Exhibition at the Royal Academy of Arts, London, 1992-1993, p.39-44
• (it) Ettore Camesasca, « Mantegna », dans Pittori del Rinascimento, Florence, Scala, 2007 (ISBN 888117099X)
• (en) Tatjana Pauli, Mantegna, Milan, Leonardo Arte, coll. « Art Book », 2001(ISBN 9788883101878)

Articles connexes

• Liste d’œuvres d’Andrea Mantegna
• Agonie dans le jardin des oliviers

Liens externes

• L’Agonie dans le jardin (Mantegna, Londres), sur Wikimedia Commons

• (en) Notice de la National Gallery [archive]
• (en) Description de la peinture [archive] sur WGA
• (it) Notice de la Fondation Zeri [archive]

Notes et références

1. ↑ ^a, b et c (en) « Fiche de l’œuvre » [archive], sur National Gallery (consulté le 4 janvier 2015).

[masquer] v · m Quelques œuvres d’Andrea Mantegna
Fresques et toiles	Saint Marc (1447-1448) · Fresques de la chapelle Ovetari (1448–1457) ·Saint Jérôme dans le désert (1448-1451) · Retable de saint Luc (1453-1454) ·La Présentation au Temple (v. 1455) ·La Vierge à l’Enfant entre saint Jérôme et saint Louis de Toulouse (v. 1455) ·Saint Sébastien (1456, Vienne) · Retable de saint Zénon (1457-1460) ·L’Agonie dans le jardin (v. 1459, Londres) ·Portrait du Cardinal Ludovico Trevisan (1459-1460) ·Saint Bernardin de Sienne et deux anges (1460) ·Portrait d’homme (v. 1460-1470, attr.) · Saint Georges (v. 1460) ·La Mort de la Vierge (1461) · Le Christ avec l’âme de la Vierge (1461-1464) ·Portrait de Francesco Gonzaga (v. 1461) · Triptyque des Offices (1462) ·La Descente dans les limbes (1470-1475) · Saint Sébastien (1480, Louvre) ·La Vierge aux chérubins (1485) · Les Triomphes de César (v. 1486) ·Le Christ mort soutenu par deux anges (v. 1488-1500) ·La Lamentation sur le Christ mort (v. 1490) ·La Madone de la carrière (1490) · Saint Sébastien (1490, Venise) ·La Vierge à l’Enfant (v. 1490-1505) · La Vierge de la Victoire (1495-1496) ·Judith tenant la tête d’Holopherne (1495) · Retable Trivulzio (1497) ·Le Parnasse (1497) · Didon (1500) · Judith avec la tête d’Holopherne (1500) ·Ecce homo (1500) ·Minerve chassant les Vices du jardin de la Vertu (v. 1502) ·L’Introduction du culte de Cybèle à Rome (1505-1506)
Gravures	La Mise au tombeau « en largeur » • Le Christ ressuscité entre saint André et Longin • Bacchanales • Combat de dieux marins • La Vierge d’humilité

 

Giacobbe Giusti, National Gallery

Informations générales

Ouverture	1824
Visiteurs par an	5 229 192 (2017)
Site web	www.nationalgallery.org.uk

Collections

Collections	Peinture européenne du xiiie siècle aux années 1900
Nombre d’objets	2 300

Bâtiment

Protection	Monument classé de Grade I (d)

Localisation

Pays	Royaume-Uni
Commune	Londres
Adresse	Trafalgar Square, Londres WC2, Angleterre, Royaume-Uni

Giacobbe Giusti, National Gallery

 

Reflet de la colonne Nelson sur l’entrée principale.

La National Gallery(ou, en français, la Galerie nationale), fondée en 1824, est un musée situé à Londres et occupant le nord de Trafalgar Squaredepuis 1838. Elle détient un patrimoine artistiquecomposé principalement de peintures datant de 1250 à 1900, les œuvres plus récentes étant abritées à la Tate Modern. La collection de 2 300 peintures appartient à l’État britannique et l’accès à la collection principale est gratuit. Seules les expositions temporaires sont soumises à un prix d’entrée. La Gallery est un « organisme public non ministériel » rattaché au Département de la Culture, des Médias et du Sport britannique.

Les débuts de la National Gallery furent modestes, à la différence du Louvre à Paris ou du Prado à Madrid, car la collection ne fut pas fondée par la nationalisation d’œuvres d’art appartenant à la famille royale ou à des nobles, ni par l’acquisition de collections massives. L’essor de la Gallery débuta avec l’achat de seulement 38 peintures au banquier John Julius Angerstein en 1824. La Gallery fut ensuite conçue par ses premiers directeurs, en particulier Sir Charles Lock Eastlake, et ses collections ont été enrichies par des donataires privés pour les deux tiers des œuvres.

La National Gallery conserve quelques-uns des plus beaux tableaux du monde, et si l’on peut y admirer quelques œuvres nationales (William Turner, John Constable, Thomas Gainsborough), l’essentiel est constitué de tableaux étrangers qui recouvrent toute l’histoire de l’art du Moyen Âge à la fin du xix^e siècle.

 

https://fr.wikipedia.org/wiki/L%27Agonie_dans_le_jardin_(Mantegna,_Londres)

www.nationalgallery.org.uk

http://www.giacobbegiusti.com