Giacobbe Giusti, Theodelinda, queen of the Lombards

Giacobbe Giusti, Theodelinda, queen of the Lombards

Fratelli zavattari, storie della regina teodolinda, 1444, monza, duomo

see filename or category – book: Stefano Zuffi, Il Quattrocento, Electa, Milano 2004.

 

Giacobbe Giusti, Theodelinda, queen of the Lombards

 

Giacobbe Giusti, Theodelinda, queen of the Lombards

La croce di Teodolinda, Monza, Museo Serpero.

Giacobbe Giusti, Theodelinda, queen of the Lombards

Corona di Teodolinda

 

Giacobbe Giusti, Theodelinda, queen of the Lombards

La regina Teodolinda in una miniatura delle Cronache di Norimberga

 

Giacobbe Giusti, Theodelinda, queen of the Lombards

Bobbio, casa della regina longobarda Teodolinda

 

 

Théodelinde de Bavière

Giacobbe Giusti, Theodelinda, queen of the Lombards

Théodelinde, fresque des Zavattaris dans la Chapelle de Théodelinde à Monza, 1444

Théodelinde de Bavière, née vers 573, morte le 22 janvier 627¹, est une princesse bavaroise, épouse des rois des Lombards Authari puis Agilulf, mère du roi Adaloald.

 

 

Theodelinda, queen of the Lombards, (c. 570-628 AD) was the daughter of duke Garibald I of Bavaria.^[1]

She was married first in 588 to Authari, king of the Lombards, son of king Cleph. Authari died in 590. Theodelinda was allowed to pick Agilulf as her next husband and Authari’s successor^[2] in 591. She thereafter exerted much influence in restoring Nicene Christianity to a position of primacy in Italy against its rival, Arian Christianity.

After the conversion of Agilulf to the Catholic faith, she started building churches in Lombardyand Tuscany, among them the cathedral of Monza and the first Baptistery of Florence. They were all dedicated to Saint John the Baptist.

The famous treasure of Monza contains the Iron Crown of Lombardyand the theca persica, enclosing a text from the Gospel of John, sent by Pope Gregory I (590-604) to her for her son Adaloald. Another of the gifts of this pope to the Lombard queen was a cruciform encolpion(reliquary) containing a portion of the True Cross. The history of the queen and her connection with the famous Iron Crown of Lombardyare narrated in the frescoes painted in the Theodelinda Chapel in the Monza Cathedral, work by Ambrogio and Gregorio Zavattari (1444).

Notes

1. ^ Herbermann, Charles, ed. (1913). « Lombardy ». Catholic Encyclopedia. Robert Appleton Company. Missing or empty |url=(help); |access-date= requires |url= (help)
2. ^ « Theodelinda », Brooklyn Museum

References

•  This article incorporates text from a publication now in the public domain: Herbermann, Charles, ed. (1913). « Lombardy » . Catholic Encyclopedia. New York: Robert Appleton.

Biographie

Théodelinde est la fille du duc Garibald I^er de Bavière et de la princesse lombarde Vuldetrade, fille du roi Waccho.

Promise au roi franc mérovingienChildebert, elle l’épouse mais Brunehaut/Brunehilde, la mère de Childebert, fait annuler ce mariage en 585. Elle épousera en deuxièmes noces Authari, roi des Lombards, qui meurt en 590.

Selon la coutume lombarde, la reine doit épouser le successeur de son défunt époux et c’est ainsi qu’elle épouse Agilulf, duc de Turin, acclamé roi à Milan en mai 591. De religion catholique, alors que son époux est arien, elle a une grande influence sur Agilulf et lui conseille de traiter avec Rome, de faire la paix avec l’Église et la Papautédirigé par Grégoire le Grand (598)². Agilulf finit par se convertir au catholicisme et fait baptiser son jeune fils Adaloald en 603.

De nouveau veuve en 616, elle assume la régence pour Adaloald.

Elle meurt le 22 janvier 627.

Théodelinde est à l’origine de l’actuelle basilique Saint-Jean-Baptiste de Monza (Lombardie), siège d’un palais royal lombard. Elle est plus tard canonisée.

Bibliographie

Sources

• Paul Diacre, Histoire des Lombards (écrite à la fin du viii^e siècle)

Ouvrages récents

• Gianluigi Barni La conquête de l’Italie par les Lombards VIe siècle, Éditions Albin Michel, coll. « Le Mémorial des Siècles », Paris, 1975 (ISBN2226000712).

Notes et références

1. ↑Barni, page 81
2. ↑Celui-ci entretint une correspondance avec elle, dont deux lettres de 593 sont conservées et publiées dans le 1 volume des Œuvres de saint Grégoire, publiées par les bénédictins de Saint-Maur en 1705, in f° t. g. p.683 & 718.

• Ross Balzaretti: Theodelinda, „most glorious queen“. Gender and Power in Lombard Italy. In: The Medieval History Journal 2 (1999), S. 183–207.
• Johannes Hofmann: Theodelinde, Königin der Langobarden, Selige. In: Biographisch-Bibliographisches Kirchenlexikon (BBKL). Band 18, Bautz, Herzberg 2001, ISBN 3-88309-086-7, Sp. 1365–1370.
• Wilfried Menghin: Die Langobarden. Theiss, Stuttgart 1985, S. 109ff.
• Walter Pohl: Theodelinde. In: Reallexikon der Germanischen Altertumskunde. Bd. 30 (2005), S. 412f. (mit umfangreicher Literatur).
• Sigmund von Riezler: Theodelinde. In: Allgemeine Deutsche Biographie (ADB). Band 37, Duncker & Humblot, Leipzig 1894, S. 687–689. (veralteter Forschungsstand)

 

https://en.wikipedia.org/wiki/Theodelinda

http://www.giacobbegiusti.com

 

 

Giacobbe Giusti, CIMA da CONEGLIANO: Madonna dell’arancio, Gallerie dell’Accademia de Venise

Giacobbe Giusti, CIMA da CONEGLIANO: Madonna dell’arancio, Gallerie dell’Accademia de Venise

Cima da Conegliano, né Giovanni Battista Cima (Conegliano 1459 – Conegliano 1517), est un peintre vénitien de la Renaissance de l’école vénitienne.

Biographie

Seuls de rares documents permettent de reconstituer la vie du peintre. La date de naissance de l’artiste (1459 ou 1460) n’est pas établie, mais déduite des registres de Conegliano de 1473, qui mentionne un cimator (ouvrier drapier) nommé Joannes, mais est-ce lui, ou bien un ouvrier de son frère Antonio ? Joannes est un prénom courant. Si c’est bien le peintre, il devait avoir à ce moment quatorze ans, puisque c’est l’âge où il a commencé à payer des impôts, selon les lois de la ville.

On ne sait rien sur sa formation en peinture avant 1489, date de sa première œuvre qu’il signe et date (vierge à l’enfant entre saint Jérôme et saint Jacques). À ce moment-là, il vit à Venise où il est « maître », ce qui sous entend qu’il a son propre atelier avec au moins un apprenti.

Vasari dit de lui qu’il fut l’élève de Giovanni Bellini, qu’il est mort jeune et que sans cela il aurait probablement égalé son maître.

L’année 1494 voit quelques paiements effectués à l’artiste. Les autres paiements remontent à 1499, 1504 et 1510.

Entre 1500 et 1515, il a probablement vécu entre Venise et la région de l’Émilie. À Parme, Bologne, des œuvres lui ont été commandées pour les églises, comme la Vierge et l’Enfant, des saints Michel et André en 1505 et la Conversation sacrée en 1513.

Sa présence à Conegliano, où il a passé les étés, est documentée pour la dernière fois en 1516. Il meurt entre 1517-1518, probablement à Conegliano, où il existe aujourd’hui un musée Giovanni Battista Cima.

Œuvres

Une centaine d’œuvres lui sont attribuées¹, dont une trentaine de retables², 4 polyptyques, 2 triptyques, 19 Vierge à l’Enfant, dix-huit Conversation sacrée, 5 Jérôme au désert.

Avant 1490

• Vierge à l’Enfant avec Saint Jean-Baptiste et Saint François, 1478-1488, Huile sur chêne, Museum Kunstpalast, Düsseldorf
• Vierge à l’Enfant avec saint Paul et saint François , 1488-93, Nivaagaards Malerisamling³
• Vierge en majesté avec saint Jacques l’apôtre et saint Jérôme, 1489, Pinacotèque du Palais Chiericati, Vicence Pinacothèque Vicenza [archive]

• 

  Conversation sacrée

  (1478-1488) Düsseldorf

• 

  Conversation sacrée

  (1488-1493) Niva, Danemark

• 

  Conversation sacrée

  (1489) Vicence

De 1490 à 1500

• Le Couronnement de la Vierge v. 1490, huile sur toile, restauration en 1999. San Zanipolo Venise
• Vierge à l’Enfant couronnés avec des saints et des saints patrons(Conversation sacrée avec les saints Sébastien, Jean-Baptiste, Madeleine, et Roch), v. 1490, huile sur toile, 301 × 211 cm, Pinacothèque de Brera, Milan
• Saint Jean-Baptiste entre saint Pierre, saint Marc, saint Jérôme et saint Paul (retable de saint Jean-Baptiste), 1491-1492, bois, 305 × 205 cm, Gallerie dell’Accademia de Venise, peint pour l’église de la Madonna dell’Orto⁴
• Saint Jérôme au désert , 1492, huile sur toile, National Gallery (Londres)
• Baptême du Christ, 1494, bois, 350 × 210 cm, San Giovanni in Bragora, Venise
• Vierge à l’Enfant avec deux vierges martyres, 1495, tempera sur bois, Memphis Brooks Museum of Art⁵, Tennessee
• Annonciation, 1495, Tempera et huile sur toile, 136,5 cm × 107 cm, musée de l’Ermitage à Saint-Pétersbourg
• Vierge à l’Enfant avec saint Jérôme et saint Jean-Baptiste, 1495, huile sur toile, 105 cm × 146 cm, National Gallery of Art, Washington
• Vierge à l’Enfant avec saint Jérôme et Marie-Madeleine, 1495, taille 79,6 × 122,9 cm, Alte Pinakothek, Munich
• Vierge à l’Enfant en majesté avec les saints Pierre, Romuald, Benoît et Paul, v.1495, huile sur peuplier, 206 × 135 cm, Gemäldegalerie, Berlin
• Vierge à l’Enfant trônant avec les Saints, 1496-1499, peinture sur bois, 419 × 213 cm, Gallerie dell’Accademia de Venise
• La Vierge à l’oranger, 1495, Tempera et huile sur panneau de bois, 212 × 139 cm, Gallerie dell’Accademia de Venise. Provient de Santa Chiara à Murano
• Conversation sacrée, 1496, huile sur toile, 54 cm × 72 cm, fondation Gulbenkian à Lisbonne
• Sainte Hélène, 1498, huile sur toile, 49,5 cm × 20,5 cm, National Gallery of Art de Washington
• La Guérison d’Aniane, 1497-1499, Gemäldegalerie, Berlin
• Vierge à l’Enfant avec saint Michel l’archange et saint André l’Apôtre, 1498-1500, huile sur bois, 194 × 134 cm, Galerie nationale de Parme
• Polyptyque Miglionico, fin du xv^e siècle, basilique Santa Maria Maggiore, Miglionico, Basilicate.
• Imago Pietatis, fin du xv^e siècle, palais de Wilanów
• Thésée tuant le Minotaure, fin xv^e siècle, huile sur panneau, 38 × 31 cm, Museo Poldi Pezzoli, Milan⁶

• 

  Couronnement de la Vierge 
  1490, Venise
• 

  Conversation sacrée
  1490, Milan
• 

  Saint Jérôme au désert 
  1492, Londres
• 

  Le baptême du Christ, 1493-94. Huile sur panneau, 350 × 210 cm. San Giovanni in Bragora

• 

  Madonna dell’arancio1495 Gallerie dell’Accademia de Venise

• 

  Conversation sacrée
  1495, Memphis
• 

  Conversation sacrée
  1495, Munich
• 

  Conversation sacrée
  1495, Berlin
• 

  Vierge à l’Enfant trônant avec les Saints
  1496-99, Gallerie dell’Accademia de Venise
• 

  La Fuite en Égypte
  1496, Lisbonne

De 1500 à 1510[modifier | modifier le code]

• Vierge à l’Enfant avec les saints Jean-Baptiste et Nicolas de Tolentino, v. 1500, tempera et huile sur peuplier, 72,1 × 111,1 cm, Brooklyn Museum, New York
• Présentation de la Vierge Marie au Temple, 1500, huile sur toile, Staatliche Kunstsammlungen de Dresde
• Sant’Elena e Costantino ai lati della Croce, 1501-1503, Église San Giovanni in Bragora Venise
• Sainte Catherine d’Alexandrie, 1502, Wallace Collection, Londres
• Vierge à l’Enfant, 1504, tempera sur bois, 66 × 57 cm, Musée des Offices, Florence où l’Enfant tient le pouce de sa mère⁷
• Vierge à l’Enfant, 1505, huile sur toile, 69,5 cm × 57 cm, National Gallery (Londres)
• L’Incrédulité de saint Thomas et l’évêque saint Magne, v. 1505, bois, 215 × 151 cm, Gallerie dell’Accademia de Venise. Vient de la Scuola dei Mureri à San Samuele
• Vierge à l’Enfant entre l’archange saint Michel et l’apôtre saint André, 1505, huile sur toile, 194 × 134 cm, Galerie Nationale de Parme
• Vierge à l’Enfant, v. 1505, huile sur toile, 59 × 45 cm, Museum of Fine Arts de San Francisco
• La Nativité (avec sainte Catherine, sainte Hélène, Tobieet l’archange Raphaël), bois, 300 × 185 cm, Gallerie dell’Accademia de Venise. Vient de l’Église Santa Maria dei Carmini
• Conversation sacrée, panneau, 64 × 91 cm, Museum Kunstpalast, Düsseldorf⁸

• 

  Conversation sacrée
  v. 1500, Brooklyn Museum
• 

  Ste Hélène et Constantin aux côtés de la Croix
  1501-1503, Venise
• 

  Conversation sacrée
  1505, Parme
• 

  Incredulità di san Tommaso col vescovo Magno 1505 Gallerie dell’Accademia de Venise

De 1510 à 1518

• Vierge à l’Enfant avec saint François et sainte Claire, 1510, Huile sur bois, 20,3 × 26,7 cm, Metropolitan Museum de New-York
• Vierge à l’Enfant avec saint Georges et saint Jacques, 1510–1511, triptyque, huile sur toile, 114 cm × 52 cm et 110 cm × 39 cm, musée des beaux-arts de Caen
• Descente de Croix , huile sur toile, musée des beaux-arts Pouchkine de Moscou.
• Saint Jérôme au désert, après 1510, bois, 215 × 151 cm, Musée des Offices, Florence⁷.
• La Vierge et l’Enfant entre saint Jean-Baptiste et sainte Marie-Madeleine, Conversation sacrée, 1511-1513, huile sur toile, 167 × 110 cm, musée du Louvre, Paris. Vient de Parme, entré au Louvre en 1812
• Vierge à l’Enfant avec saint Jean l’évangéliste et saint Nicolas de Bari, 1513-18, National Gallery de Londres
• Vierge à l’enfant avec des saints, 1515, Cleveland Museum of Art
• Vierge à l’Enfant avec saint Jean-Baptiste et sainte Catherine, 1515, huile sur bois, 957 × 624 cm, Pierpont Morgan Library, New York
• Vierge à l’Enfant avec les saints Sébastien, François, Jean-Baptiste et Jérôme, v. 1515, huile sur bois, 159 × 2 015 cm, Fogg Art Museum, Cambridge
• Vierge à l’Enfant avec saint Jean-Baptiste et saint Paul, Gallerie dell’Accademia de Venise

• 

  Conversation sacrée
  1510, New York
• 

  Conversation sacrée
  1510-1511, Caen
• 

  Conversation sacrée
  1511, Louvre
• 

  Conversation sacrée
  1513-18, Londres
• 

  Conversation sacrée
  1515, Cleveland
• 

  Conversation sacrée
  1515, Morgan Library, NY
• 

  Conversation sacrée
  v. 1515,Cambridge
• 

  Madone avec Sts J-Baptiste et Paul
  Académie de Venise

1. ↑ ^a et b Villa CF, L’exposition Cima de Conegliano, un virtuose en pleine lumière, L’Objet d’Art, Hors série n^o 61, avril 2012, p. 2-7
2. ↑ Philippon C, Cima da Conegliano, un maître vénitien novateur et influent, L’Objet d’Art, Hors série n° 61, avril 2012, p16-27
3. ↑ Nivaagaards Malerisamling Museum [archive]
4. ↑ Augusto Gentili, « Giovanni Battista Cima da Conegliano », dans Giovanna Nepi Sciré, La Peinture dans les Musées de Venise, Paris, Editions Place des Victoires, 2008(ISBN 978-2-8099-0019-4), p. 150 à 157
5. ↑ Memphis Brooks Museum [archive]
6. ↑ James Stourton, Petits Musées, grandes collections : Promenade à travers l’Europe, Scala, 2003, p.140
7. ↑ ^a et b Mina Gregori, Le Musée des Offices et le Palais Pitti : La Peinture à Florence, Editions Place des Victoires, 2000(ISBN 2-84459-006-3), p. 146
8. ↑ Le Grand Dictionnaire de la Peinture : Des Origines à nos jours, EDDL, 1998 (ISBN 2-23700-329-7), p. Cima, Giovanni Battista
9. ↑ Brouard C, Cima peintre de paesi, l’illuszion d’une campagne amène, L’Objet d’Art, Hors-série n^o 61, avril 2012, p. 32-37
10. ↑ Yacob A, La technique picturale : un usage magistral de l’huile et des couleurs, L’Objet d’Art, Hors-série n^o 61, avril 2012, p. 51-56
11. ↑ Franceschini G, Les rares feuilles de Cima dessinateur, L’Objet d’Art, Hors-série n^o 61, avril 2012, p. 62-63
12. ↑ Site de l’exposition Cima da Conegliano au musée du Luxembourg [archive]

https://fr.wikipedia.org/wiki/Cima_da_Conegliano

http://www.giacobbegiusti.com

Giacobbe Giusti, MASO di BANCO

 

Giacobbe Giusti, MASO di BANCO                                                           

                                                                                                                              Giacobbe    Giusti  Palazzo Bastogi

Madonna col Bambino, Berlino, Staatlische Museen

Giacobbe Giusti, MASO di BANCO

• 

  Sogno di Costantino

  Giacobbe Giusti, MASO di BANCO

• 

  Battesimo di Costantinoe Miracolo del toro

  Giacobbe Giusti, MASO di BANCO

• 

  Papa Silvestro annienta un drago e risuscita due maghi

   

Giacobbe Giusti, MASO di BANCO

Pope Sylvester I turning away a dragon and reviving its victims, by Maso di Banco

Maso di Banco(working c 1335- 1350) was an Italian painter of the 14th century, who worked in Florence, Italy. He and Taddeo Gaddi were the most prominent Florentine pupils of Giotto di Bondone, exploring the three-dimensional dramatic realism inaugurated by Giotto.^[1]

Maso’s name and work are known to us from Lorenzo Ghiberti‘s autobiographical I Commentari,which identifies frescoes in the chapel of the Holy Confessors at Santa Croce, Florence as his chief work.^[2] The frescoes, not signed or dated but probably c 1340, represent scenes from the Life of St. Sylvester (Pope Sylvester I), the Last Judgment, and The Entombment.

His fresco of a particular judgment is in the Bardi banking family chapel of Santa Croce. It features Gualtiero de’ Bardi pleading on behalf of his soul before Jesus Christ.

Nanni di Banco, a sculptor of the early 15th century, is not related to Maso.

Selected works

• Triptych, Detroit Institute of Art
• Portable altarpiece depicting Madonna and Christ Child with Saints and Scenes From The Life of Christ at Brooklyn Museum
• Panel depicting The Coronation of the Virginat the Budapest Museum of Fine Art

Notes

1. Jump up^ A World History of Art: Gothic Art.
2. Jump up^ Giorgio Vasari confused Maso with Maso di Stephano, called « Giottino ».

Maso di Banco.

• Gallery of Art Online
• Italian Paintings: Florentine School, a collection catalog containing information about di Banco and his works (see pages: 20-22).

https://en.wikipedia.org/wiki/Maso_di_Banco

giacobbe giusti artist

 

 

 

 

Giacobbe Giusti, ANDREA di BARTOLO

Giacobbe Giusti, ANDREA di BARTOLO

Le Portement de Croix, 1415-1420 Musée Thyssen-Bornemisza

Giacobbe Giusti, ANDREA di BARTOLO

Vierge d’humilité du musée des beaux-arts de Montréal.

 

Giacobbe Giusti, ANDREA di BARTOLO

Joaquim quitte la ville
v. 1400, Keresztény Múzeum

 

Giacobbe Giusti, ANDREA di BARTOLO

• Le Christ fait prisonnier
  v. 1400, Collection privée

Giacobbe Giusti, ANDREA di BARTOLO

Couronnement de la Vierge 1405-1407, Ca’d’Oro

 

Giacobbe Giusti, ANDREA di BARTOLO

Joaquim et les mendiants
v. 1400, Washington

Giacobbe Giusti, ANDREA di BARTOLO

Le Portement de Croix, 1415-1420
Musée Thyssen-Bornemisza

Giacobbe Giusti, ANDREA di BARTOLO

Couronnement de la Vierge
v. 1410, Pinacothèque de Brera.

Andrea di Bartolo Cini (entre 1360 et 1370 – 1428), actif entre 1389-1428) est un miniaturiste et un peintre de l’école siennoise de la fin Trecento et du début du Quattrocento (les xiv^e et xv^e siècles italiens).

Fils de Bartolo di Fredi, il travailla d’abord sur des commandes passées à son père.

Il travaille à la Cathédrale de Sienne en réalisant deux panneaux pour les chapelles San Giacomo et San Crescenzio, ainsi que les cartons pour les vitraux de la sacristie. Il travailla aussi avec ses fils Ansano et Giovanni.

Ses œuvres diffusent la manière paternelle, revue à travers la leçon de Spinello Aretino¹. Son style resta largement imprégné de ceux des grands maîtres du Trecento comme Simone Martini et Duccio di Buoninsegna.

Œuvres

Fin du xiv^e siècle

• Polyptyque du Couronnement de la Vierge, avec son père, Montalcino
• Massacre des Innocents², v. 1380, Walters Art Museum
• L’Annonciation, v. 1383, Dyptyque, Musée des beaux-arts de Budapest
• L’Assomption de la Vierge avec saint Thomas et deux donateurs (seigneur Palamedes et son fils Matthieu), v. 1390, tempera sur bois, 203 × 85 cm, (MOFA)³
• Crucifixion, v. 1390, tempera et or sur bois, 45 × 27 cm, Musée national de Varsovie (MNW)
• Vierge à l’Enfant avec des saints, 1395-1400, triptyque, Lindenau Museum, Altenburg
• Nativité, Résurection et Saints, 1397, triptyque, 53 × 53 cmPinacothèque nationale de Sienne
• Vierge d’humilité (1400), musée des beaux-arts de Montréal

• 

  L’Annonciation
  v. 1383, Budapest
• 

  Assomption de la Vierge
  v. 1390, Virginie
• 

  Triptyque, 1395-1400
  Lindenau Museum
• 

  Triptyque de Sienne
  1397
• 

  Vierge d’humilité du musée des beaux-arts de Montréal.

Quatre saints de 1389 à 1406

Ils pourraient faire partie de la série de tableaux superposés, à la droite d’un pilastre d’un retable non identifié, mentionné dans la description du Saint Étienne du Victoria & Albert Museum⁴.

• Saint Benoît, Christie’s
• Sainte Lucie, Ashmolean Museum, Oxford
• Saint Étienne, Victoria and Albert Museum
• Sainte Catherine d’Alexandrie, Lindenau museum Altenburg

• 

  Saint Benoît
  Vente Christie’s
• 

  Sainte Lucie
  Ashmolean Museum
• 

  Saint Étienne
  Victoria & Albert Museum
• 

  Sainte Catherine
  Lindenau Museum

Début xv^e siècle

• Joaquim quittant la ville, v. 1400, Christian Museum, Esztergom, Hongrie
• Joachim et les mendiants, v. 1400, National Gallery of Art, Washington
• Nativité de la Vierge, v. 1400, National Gallery of Art, Washington
• Le Christ fait prisonnier, v. 1400, Collection privée, Paris
• Le Portement de croix, v. 1400, Musée Thyssen-Bornemisza, Madrid
• Crucifixion, v. 1400, Metropolitan Museum of Art
• La Résurrection⁵, 1400, Walters Art Museum
• La Présentation de la Vierge, v. 1400, National Gallery of Art, Washington
• Le Couronnement de la Vierge, 1405-1407, bois, 106 × 74 cm, Ca’ d’Oro, Venise
• Crucifixion et saints⁶, 1400-1410, Triptyque, 55 × 45 cm, Pinacothèque nationale de Sienne
• Vierge à l’Enfant avec les quatre évangélistes, 1400-1410, tempera et feuille d’or sur panneau, 55 × 85 cm, Walters Art Museum

• 

  Joaquim quitte la ville
  v. 1400, Keresztény Múzeum
• 

  Joaquim et les mendiants
  v. 1400, Washington
• 

  Nativité de la Vierge
  v. 1400, Washington
• 

  Présentation de la Vierge
  v. 1400, Washington
• 

  Le Christ fait prisonnier
  v. 1400, Collection privée
• 

  Crucifixion
  v. 1400, Metropolitan
• 

  Couronnement
  de la Vierge
  1405-1407, Ca’d’Oro
• 

  Vierge et Évangélistes
  1400-1410
  Walters Museum

Œuvres de 1410 à 1420

• Vierge d’humilité, v. 1410, triptyque de dévotion personnel, tempera et or en feuilles sur peuplier, panneau central de 42 × 18 cm, panneaux latéraux de 40 × 8 cm, Brooklyn Museum, New York. Un des tableaux identiques, réalisés pour chacune des cellules des sœurs du couvent des Dominicains de Venise.
• Couronnement de la Vierge, v. 1410, polyptyque, huile sur panneau, 160 × 65 cm, Pinacothèque de Brera
• Vierge à l’Enfant, 1410-1415, 110 × 50 cm, Musée d’art de l’université de Princeton
• Le Portement de Croix, v. 1415-1420, 54 × 49 cm, Musée Thyssen-Bornemisza, Madrid, en dépôt au Musée national d’art de Catalogne (presque une copie servile du tableau du même thème de Simone Martini).
• Saint Paul, v. 1420, huile sur panneau, 29 × 20 cm, collection particulière
• La Cène, v. 1420, tempera sur panneau, 48 × 32 cm, Pinacothèque nationale (Bologne)

• 

  Vierge d’humilité
  v. 1410, Brooklyn
• 

  Madone, 1410-1415
  Princeton
• 

  Saint Paul, v. 1420
  Collection privée

Non daté

• Catherine de Sienne pour Murano, pinacothèque de Brera, Milan

Notes et références

1. ↑ Giovanna Nepi Sciré, « Biographies », dans La Peinture dans les Musées de Venise, Paris, Editions Place des Victoires, 2008(ISBN 978-2-8099-0019-4), p. 573.
2. ↑ Massacre des Innocents, Walters Museum.
3. ↑ Virginia Museum of Fine Arts [archive].
4. ↑ Victoria & Albert Museum [archive].
5. ↑ Résurrection, Walters Museum.
6. ↑ Triptyque de la Crucifixion, Sienne.

 Giacobbe Giusti, ANDREA di BARTOLO

Crucifixion

Andrea di Bartolo or Andrea di Bartolo Cini (1360/70 – 1428, in Siena) was an Italian painter, stained glass designer and illuminator of the Sienese Schoolmainly known for his religious subjects. He was active between 1389–1428 in the area in and around Siena.^[1][2]

Life

Andrea di Bartolo was the son and pupil of Bartolo di Fredi, a very prominent painter in Siena. His youth was spent working in his father’s workshop which received many prestigious orders.

Massacre of the Innocents

He collaborated with his father and Luca di Tommè on an altarpiece (now lost) for the altar of the shoemaker’s guild in the cathedral of Siena in 1389. This is his first documented work.^[3] However, it is believed that his hand can be discerned in works of his father painted between 1380 and 1389, such as in the Massacre of the Innocents (Walters Art Museum).^[2]

Andrea likely set up his own workshop around 1390. He was extremely successful in Siena and obtained numerous commissions even from as far as Veneto. His patrons were drawn from the same monastic circles as his father such as the Franciscans of Montalcino and the Dominicans of Siena.^[2] From his studio he produced a large number of works, some of which have survived and are found in various museums around the world. Like Simone Martini he travelled far to execute work for patrons, including the Marches, Veneto and Treviso.^[4]

It is possible Andrea was the father of the painter Giorgio di Andrea di Bartolo (active 1409 to 1428).^[5]

Work

Most of Bartolo’s works are religious works of art. Throughout his career Andrea imitated his father’s paintings.^[1] While he worked on projects jointly with his father, he developed an independent style. Other collaborations were with Luca di Tommè.

Coronation of the Virgin

Andrea di Bartolo’s creativity is a continuation of the work of his father, who in turn drew on the tradition of Siena, begun by Duccio and Simone Martini. Still Andrea’s own style can also be recognised early on. Andrea had a more summary drawing style and a softer modeling technique than his father and paid less attention to naturalistic detail and expressionism.

Generally speaking Andrea’s style remained solidly rooted in the Sienese traditions. However, if required he could absorb foreign influences, in particular in his commissions from the Venetian region. For instance, his Coronation of the Virgin (Venice, Ca’ d’Oro) shows in its iconography and rich ornamental elements the influence of Venetian painting.^[2]

Madonna of humility

His later work shows the influence of Taddeo di Bartolo, Martino di Bartolomeo and Spinello Aretino.^[1] This is also evident in his manuscript illuminations, in which he showed himself more independent from the style of his father.^[2]

References

1. ^ Jump up to:^a b c Federico Zeri, with the assistance of Elizabeth E. Gardner, Italian Paintings: Sienese and Central Italian Schools, A Catalogue of the Collection of The Metropolitan Museum of Art, The Metropolitan Museum of Art, 1980, p. 1-2
2. ^ Jump up to:^{a b c d e} Colum Hourihane, The Grove Encyclopedia of Medieval Art and Architecture, Volume 2, Oxford University Press USA, 6 Dec 2012, p. 96-98
3. Jump up^ Joseph Archer Crowe, Giovanni Battista Cavalcaselle, A history of painting in Italy, Umbria, Florence and Siena, from the second to the sixteenth century, Volume 3, J. Murray, London, 1903, 2001 ISBN 0-543-97422-7, p. 134-137
4. Jump up^ Gaudenz Freuler, Andrea di Bartolo, Fra Tommaso d’Antonio Caffarini, and Sienese Dominicans in Venice, in: The Art Bulletin Vol. 69, No. 4 (Dec., 1987), pp. 570-586
5. Jump up^ Andrea di Bartolo, in: Benezit Dictionary of Artists

https://en.wikipedia.org/wiki/Andrea_di_Bartolo

http://www.giacobbegiusti.com