Jump up^The date formerly visible on the ex-coll. Olivares painting at the Metropolitan Museum of Art.
Jump up^Federico Zeri and Elizabeth E. Gardner, Italian Painting: the Venetian School(Metropolitan Museum) 1973:2, pl. 2).
Jump up^Antonello da Messina. « Christ Crowned with Thorns ». Art Object. The Metropolitan Museum of Art, acc. no. 32.100.82: The Metropolitan. Retrieved 9 June 2014. This painting may date as early as 1470. […] Christ is shown behind a parapet—a convention Antonello appropriated from portraiture. The device enhances the effect of Christ’s physical presence and suffering: « a Man of sorrows and acquainted with grief » (Isaiah 53:3).
Jump up^« Ecce Homo in the Piacenza collection ». Collegio Alberoni, Piacenza: Associazione Piacenza Musei. Retrieved 9 June 2014. …the outstanding Ecce Homo by Antonello da Messina. Such painting is one of the top masterpieces by the painter from Messina, and deals with the key factor in his pictorial research, as confirmed by the stylistic comparison with other works of his, such as Ecce homo in Palazzo Spinola (Genova), Cristo Benedicente (Christ Blessing) at London’s National Gallery and Cristo alla Colonna (Christ at the pillar) at Louvre.
Jump up^« Collaborations. Fondazione Spinola ». Genoa: La Fondazione Spinola Banna per l’Arte. Retrieved 9 June 2014. …2000 exhibition “Ecce Homo by Antonello da Messina – Genoa and Piacenza, A Comparison between two Different Versions” National Gallery of Palazzo Spinola, Genoa
The permanent collection consists of works of art from classical antiquity and ancient Egypt, paintings, and sculptures from nearly all the Europeanmasters, and an extensive collection of American and modern art. The Met maintains extensive holdings of African, Asian, Oceanian, Byzantine, and Islamic art. The museum is home to encyclopedic collections of musical instruments, costumes, and accessories, as well as antique weapons and armor from around the world. Several notable interiors, ranging from first-century Rome through modern American design, are installed in its galleries.
The Metropolitan Museum of Art was founded in 1870 for the purposes of opening a museum to bring art and art education to the American people. It opened on February 20, 1872, and was originally located at 681 Fifth Avenue.
La quarta cappella della navata destra di Santa Trinita apparteneva ai ricchi mercanti Bartolini Salimbenialmeno dal 1363. L’affresco di Spinello Aretino venne messo in relazione da Cristina di Benedictis con una certa Lisa, moglie di Bartolmeo Bartolini Salimbeni, morta entro il 1390: in questo senso si spiegherebbe la presenza dei santi Elisabetta e Bartolomeo. La donna, rappresentata piccola in basso in abito di terziaria francescana, sarebbe stata omaggiata dal marito con l’affresco, che ne esaltasse la memoria e le virtù cristiane, come se fosse stata una religiosa.
Al momento della nuova decorazione ad affresco (1420 circa) Lorenzo Monaco, il cui stile è debitore dell’esempio di Spinello, dovette cercare di salvare alcuni dettagli asportando pezzi interi di intonaco e forse di muratura, non essendo conosciuta la tecnica dello strappo: ciò venne ipotizzato da Ugo Procacci nel riscontrare la mancanza di elementi basilari quali il volto di santa Caterina, della Vergine, o il cerchio attorno alla testa di san Bartolomeo che denota un tentativo di asportazione. Infine si rinunciò, procedendo a operare le scalfiture e martello per far aderire il nuovo intonaco. Forse alcuni frammenti riuscirono a venire conservati, probabilmente in un luogo per la devozione privata delle case dei Bartolini.
Descrizione e stile
La sinopia
L’opera ha come tema centrale il matrimonio mistico di santa Caterina d’Alessandria, che viene rappresentata in ginocchio al cospetto del trono della Vergine, mentre Gesù Bambino la sposa simbolicamente infilandole un anello nuziale al dito. Assistono alla scena quattro santi sotto lo stesso arco e due ai lati sotto nicchie dipinte separate. Essi sono, da sinistra: sant’Elisabetta, sant’Andrea, san Bartolomeo (protettore del committente ma anche dei « Bartolini » in generale per l’assonanza del nome), sant’Antonio Abate, san Giovanni Battista e un santo vescovo.
In basso, piccolissima, si affaccia la committente che guarda la scena levando la testa.
Lo stile è tipico delle opere di Spinello, con colori accesi e cangianti, figure allungate, profili taglienti, che vennero riprese e sviluppate dagli artisti del gotico internazionale, tra cui proprio Lorenzo Monaco.
Bibliografia
Stefan Weppelmann, Spinello Aretino e la pittura del Trecento in Toscana, Firenze, 2011. ISBN 9788859608776
Giovanni Matteo Guidetti, La Cappella del Cardinale del Portogallo a San Miniato al Monte, in AA.VV., Cappelle del Rinascimento a Firenze, Editrice Giusti, Firenze 1998.
Spinello di Luca Spinelli, comunemente noto come Spinello Aretino (Capolona (Arezzo), 1350circa – 14 marzo1410), è stato un pittoreitaliano, tra i più attivi in Toscana nella seconda metà del Trecento.
Spinello di Luca Spinelli, comunemente noto come Spinello Aretino (Capolona (Arezzo), 1350circa – 14 marzo1410), è stato un pittoreitaliano, tra i più attivi in Toscana nella seconda metà del Trecento.
Spinello Aretino (c. 1350 – c. 1410) was an Italianpainter from Arezzo, whose style influenced the development of late 14th- and early 15th-century painting in Tuscany
Le 6 décembre 2017, il est annoncé que le tableau sera exposé dans le tout nouveau musée du Louvre Abou Dabi3.
Thème
Le Salvator Mundi est un thème d’art chrétien, inspiré du Christ pantocrator (« Christ tout-puissant » en grec ancien), popularisé entre autres par les peintres d’Europe du Nord Jan van Eyck(1390-1441), Hans Memling (v. 1435-1494) et Albrecht Dürer (1471-1528)… Il représente le Christ en gloire, qui donne sa bénédiction de la main droite, avec un orbe (insigne royal) dans sa main gauche.
Description
Le tableau reprend ce thème, avec une figure du Christ vu de face, cadré à mi-corps. Il donne une bénédiction de la main droite (type benedictio latina, avec l’index et le majeur croisés). Cette main droite levée représente aussi le geste de celui qui enseigne, énonce la parole divine4. Jésus-Christ tient dans la main gauche une sphère de cristal transparente, variante de l’orbe (insigne royal), qui se laisse traverser par la lumière sans subir de réfraction importante1.
Il porte une tunique bleu-mauve finement brodée avec des garnitures en brocart d’or, et il a de longs cheveux bouclés. L’orbe et les deux bandes croisées ornées de motifs géométriques répétitifs, sur sa poitrine, sont des attributs caractéristiques des empereurs. L’arrière-plan est habituellement neutre5.
Histoire
Ce tableau aurait été commandé par le roi Louis XII vers 15006,7, peu de temps après la deuxième guerre d’Italie (1499-1500) par laquelle Louis XII conquiert le duché de Milan du duc Ludovic Sforza pour qui travaille Léonard de Vinci. Ce dernier quitte alors Milan pour Florence, d’où il est originaire, en 1500. On en possède une description par Giorgio Vasari et plusieurs esquisses préparatoires. Le travail récemment authentifié a autrefois appartenu à Charles Ier d’Angleterre et est enregistré dans sa collection d’art en 1649. En 1650, à la demande de sa veuve Henriette Marie de France, Wenceslas Hollar en réalise une copie gravée. Le tableau est vendu aux enchères par le fils du duc de Buckingham et de Normanby en 1763, puis sa trace se perd8.
Il ré-apparaît en 1900, quand il est acheté par un collectionneur britannique, Francis Cook, vicomte de Monserrate(en). Son attribution porte à débats, on pense alors à Giovanni Antonio Boltraffio. Les descendants de Cook l’ont vendu aux enchères en 1958 pour 45 £9. En 2005, le tableau a été acquis par un consortium de marchands d’art dont Robert Simon, spécialiste des maîtres anciens. Il a été gravement endommagé par des tentatives de restauration précédentes, a été fortement repeint et reverni, de sorte qu’il ressemblait à une copie. Une barbe et des moustaches ont été ajoutées, probablement après la Contre-Réforme, pour adapter l’image du Christ à la physionomie officielle. Il est alors décrit comme « une épave, sombre et lugubre »10.
Il a subi un long travail de restauration. Les ajouts manifestes comme la barbe et les moustaches, qui étaient absents de la peinture sous-jacente, ont été retirés. Puis il a finalement été authentifié comme un tableau de Léonard. Il a été exposé à la National Gallery de Londres pour l’exposition Leonardo da Vinci: Painter at the Court of Milano du 9 novembre 2011 au 5 février 201211,12. En 2013, le tableau a été vendu au collectionneur russe Dmitri Rybolovlev pour 127,5 millions de dollars, par l’intermédiaire du courtier et marchand d’art suisse Yves Bouvier, qui se retrouve au cœur d’une polémique13,14,15.
Vente record en 2017
Le , Salvator Mundi — seul tableau du maître à se retrouver encore entre des mains privées — passe à nouveau sous le marteau des commissaires priseurs, cette fois chez Christie’s New York16. Adjugé pour une somme finale de 450,3 millions de dollars, il est officiellement reconnu comme l’œuvre la plus chère ayant jamais été vendue aux enchères17. Ceci dépasse de loin le précédent record de vente aux enchères, Les Femmes d’Alger (version 0) de Pablo Picasso, vendue 179,4 millions de dollars en 201518. Même dans le cas où les rumeurs selon lesquelles un tableau de Paul Gauguin et un tableau de Willem de Kooning auraient chacun été vendus pour 300 millions de dollars lors d’une vente privée aux États-Unis en 2015 s’avéraient exactes, Salvator Mundi resterait tout de même le tableau le plus cher jamais vendu de l’Histoire18. La vente, emportée par un acheteur anonyme, est partie d’une mise à prix de 70 millions de dollars. Elle a passé 53 échelons en 19 minutes pour atteindre finalement les 400 millions de dollars (prix hors commissions et taxes)19.
Localisation
Le 6 décembre 2017, il est annoncé que le tableau sera exposé au musée du Louvre Abou Dabi, inauguré le 8 novembre précédent en présence du président Emmanuel Macron20.
La peinture a été comparée à plus de vingt autres versions du Salvator Mundi. Plusieurs caractéristiques ont conduit à l’attribution de Léonard : elle contient un certain nombre de repentirs évidents, la technique inhabituelle de dégradé, comparable au sfumato, sur le bord de la paume est typique de nombre de ses œuvres1. La manière dont les boucles de cheveux et les plis des vêtements ont été traités est également considérée comme révélatrice de son style. Les pigments et le panneau de noyer sur lequel la peinture a été exécutée sont compatibles avec d’autres de Léonard21. La réfraction optique produite sur le cristal est un morceau de virtuosité, témoin d’une étude approfondie tout à fait compatible avec les intérêts scientifiques de Léonard22.
Certains contestent cette attribution et considèrent certaines parties comme médiocres ; la tête paraît rigide et légèrement disproportionnée, le cou mal positionné et surtout le majeur de la main droite présente une posture impossible, ce qui paraît étrange pour un artiste si féru d’anatomie. Les boucles des cheveux sont également lourdes et figées. Toutefois, l’allongement de certaines parties du corps – qu’on retrouve sur les cous de la Vierge et Sainte Anne sur le tableau La Vierge, l’Enfant Jésus et sainte Anne – est une habitude chez Léonard de Vinci[réf. souhaitée].
En mai 2008, le tableau est envoyé à la National Gallery de Londres pour être comparé à La Vierge aux rochers qui pourrait dater de la même période. Plusieurs experts de Léonard sont invités à examiner la peinture, dont Carmen Bambach, David Alan Brown, Maria Teresa Fiorio, Martin Kemp, Pietro C. Maraniet Luke Syson. En 2010, enfin, le travail de restauration est terminé. Les experts réunis sont parvenus à la conclusion que ce tableau pourrait fort bien être un original authentique de Léonard de Vinci. Martin Kemp, l’expert de Léonard qui a aidé à authentifier l’œuvre, a dit qu’il a su, dès le premier coup d’œil sur le tableau restauré, que c’était une œuvre de Léonard : « Il y avait ce genre de ressenti de Léonard… cette inquiétante étrangeté que Léonard sait manifester dans sa peinture1. »
Though seemingly self-contained, this panel is actually a fragment of a larger painting that was cut in half across the middle. The tops of two haloes are all that remain of Mary and St. John the Evangelist, who originally flanked the cross in the lower half of the panel, now missing. While the Armenian bole (a red earth pigment) foundation beneath the gold leaf shows through in many places, the figure of Christ is in excellent condition. Orcagna’s attention to the anatomical details of Christ’s torso reveals his training as a sculptor. For more information on this piece, please see Zeri catalogue number 6, p. 12.
Madonna with Child Enthroned between Saints John the Baptist and Sebastian is a painting by the Italian Renaissance artist Pietro Perugino, executed in 1493, and housed in the Uffizi Gallery, Florence.
History
The work was commissioned by Cornelia Salviati, widow of Venetian merchant Giovanni Martini, and his son Roberto, for the chapel of the convent of San Domenico, Fiesole, which had been perhaps restored by Giuliano da Sangallo a few years before. In 1493 Perugino had married Chiara Fancelli, the daughter of architect Luca Fancelli: the face of the Madonna is a portrait of her.
Detail of St. Sebastian’s face.
In 1786 the panel was acquired for 1000 Italian scudi by Peter Leopold, Grand Duke of Tuscany, becoming part of the future Uffizi Gallery. The original chapel was redecorated by a painting by Lorenzo di Credi; the one now in the church is a copy by Garibaldo Ceccarelli.
It was restored in 1995.
Description
The background, this time featuring two bays, is one of the many porticoes painted by Perugino in the 1480s and 1490s (in works such as the Fano Altarpiece or the Pietà. Also typical is the serene landscape with thin trees.
Mary sits on a high throne decorated with grotesques at the base, where it is also the signature PETRVS PERVSINVS PINXIT AN[NO MCCCCLXXXXIII (Pietro Perugia 1493). She holds the child on her knees, as he looks towards John the Baptist on the left; John, in turn, points at him. On the right is the common representation of St. Sebastian martyred by arrows, his contemplative gaze directed to the heavens.
The composition was one of the first examples in Florence of the new style of Holy Conversationelaborated in Venice by Antonello da Messina and Giovanni Bellini a few years before, with a pyramidal development pivoting on the central figure of Mary on a high throne. The painting is also one of the first by Perugino in which the Madonna is no longer an elegant maid, but a more mature and severe woman, according to the more sober climate introduced in Florence by Girolamo Savonarola. Another example of this evolution is the Madonna with Child with St. Catherine of Alexandria in the Kunsthistorisches Museum of Vienna.