Giacobbe Giusti, Palazzo dei Priori (Pérouse)

Giacobbe Giusti, Palazzo dei Priori (Pérouse)

 

Sala dei Notari, paintings by Pietro Cavallini (late 13th century), Palazzo dei Priori, Perugia, Italy

 

Giacobbe Giusti, Palazzo dei Priori (Pérouse)

Sala dei Notari, paintings by Pietro Cavallini (late 13th century), Palazzo dei Priori, Perugia, Italy

Giacobbe Giusti, Palazzo dei Priori (Pérouse)

Sala dei Notari, paintings by Pietro Cavallini (late 13th century), Palazzo dei Priori, Perugia, Italy

Giacobbe Giusti, Palazzo dei Priori (Pérouse)

Sala dei Notari, paintings by Pietro Cavallini (late 13th century), Palazzo dei Priori, Perugia, Italy

Giacobbe Giusti, Palazzo dei Priori (Pérouse)

 

Giacobbe Giusti, Palazzo dei Priori (Pérouse)

Pietro Perugino – View of the Sala di Udienza –

Giacobbe Giusti, Palazzo dei Priori (Pérouse)

Sala del Collegio della Mercanzia.

Giacobbe Giusti, Palazzo dei Priori (Pérouse)

Bas-reliefs allégories de la Prudence, de la Force, de la Justice et de la Tempérance.

 

Giacobbe Giusti, Palazzo dei Priori (Pérouse)

Grifone e leone (sec. XIII) – Foto G. Dall’Orto –

Giacobbe Giusti, Palazzo dei Priori (Pérouse)

Gli originali delle statue del Grifo e del Leone (circa fine XIII secolo) sono collocati all’interno dell’atrio di Palazzo dei Priori

Giacobbe Giusti, Palazzo dei Priori (Pérouse)

 

Giacobbe Giusti, Palazzo dei Priori (Pérouse)

Giacobbe Giusti, Palazzo dei Priori (Pérouse)
Le palais vu depuis la place du IV novembre
Période ou style	Architecture gothique
Type	Palais
Début construction	1293
Fin construction	1443
Destination actuelle	Musée et siège de la municipalité
Coordonnées	43° 06′ 43″ nord, 12° 23′ 20″ est
Pays	Italie
Région historique	Ombrie
Localité	Pérouse
Géolocalisation sur la carte : Pérouse (Voir situation sur carte : Italie)

Le Palazzo dei Priori est un palais de la Commune de la ville de Pérouse dans la région de l’Ombrieen Italie.

Il donne d’un côté sur la Piazza IV Novembre, de l’autre sur le Corso Vannucci jusqu’à la Via Boncampi.

Historique

Le Palazzo dei Priori fut édifié entre 1293 et 1443, en style gothique, et son porche d’entrée est orné de statues d’un griffon et d’un lion (originaux dans la première salle).

Il est aujourd’hui le siège de la municipalité de Pérouse et accueille à partir du troisième étage, la Galerie nationale de l’Ombrie dont les collections, en particulier de l’école siennoise, sont remarquables.

Galerie

• 

  Façade donnant sur le Duomo San Lorenzo

• 

  Originaux des statues de la façade précédente

• 

  Sala dei Notari

Voir aussi

Articles connexes

• Collegio del Cambio
• Fresques du Collegio del Cambio
• Sala delle Udienze del Collegio del Cambio
• Collegio della Mercanzia
• Sala dei Notari

https://fr.wikipedia.org/wiki/Palazzo_dei_Priori_(P%C3%A9rouse)

http://www.giacobbegiusti.com

 

Giacobbe Giusti, Musée national d’archéologie de l’Ombrie, Pérouse

Giacobbe Giusti, Musée national d’archéologie de l’Ombrie, Pérouse

 

 

Giacobbe Giusti, Musée national d’archéologie de l’Ombrie, Pérouse

 

Giacobbe Giusti, Musée national d’archéologie de l’Ombrie, Pérouse

 

Giacobbe Giusti, Musée national d’archéologie de l’Ombrie, Pérouse

Le « cippo perugino »

 

Giacobbe Giusti, Musée national d’archéologie de l’Ombrie, Pérouse

Le « cippo perugino »

 

Giacobbe Giusti, Musée national d’archéologie de l’Ombrie, Pérouse

Le « cippo perugino »

 

Giacobbe Giusti, Musée national d’archéologie de l’Ombrie, Pérouse

 

Giacobbe Giusti, Musée national d’archéologie de l’Ombrie, Pérouse

 

 

Giacobbe Giusti, Musée national d’archéologie de l’Ombrie, Pérouse

 

 

Giacobbe Giusti, Musée national d’archéologie de l’Ombrie, Pérouse

Bronzetti et statuette filiforme votive analogue à l’Ombra della serade Volterra.

 

Giacobbe Giusti, Musée national d’archéologie de l’Ombrie, Pérouse

 

Giacobbe Giusti, Musée national d’archéologie de l’Ombrie, Pérouse

Thésée et le Minotaure. Vers -550. Musée national d’archéologie de l’Ombrie

Giacobbe Giusti, Musée national d’archéologie de l’Ombrie, Pérouse

 

Giacobbe Giusti, Musée national d’archéologie de l’Ombrie, Pérouse

Nikè entre Zeus et Héra. Vers -350. Musée national d’archéologie de l’Ombrie

 

Giacobbe Giusti, Musée national d’archéologie de l’Ombrie, Pérouse

Tête de Méduse sur sarcophage. Vers iv^e siècle av. J.-C..

 

Giacobbe Giusti, Musée national d’archéologie de l’Ombrie, Pérouse

Reconstitution tombe Cai Cutu

 

Giacobbe Giusti, Musée national d’archéologie de l’Ombrie, Pérouse

Cloître principal du couvent abritant les collections.

Informations générales

Type	Musée national
Visiteurs par an	19 398 (2015)
Sites web	polomusealeumbria.beniculturali.it polomusealeumbria.beniculturali.it/?page_id=134

Collections

Collections	pièces préhistoriques et romaines, sarcophages étrusques (cippo perugino, sarcophage des Époux, bronzetti, sarcophage Sperandio)
Provenance	région et tombe des Cai Cutu
Époque	xe – iiie siècle av. J.-C.

Bâtiment

Article dédié	couvent San Domenico
Protection	Bien culturel en Italie (d)

Localisation

Pays	Italie
Commune	Pérouse
Adresse	Piazza Giordano Bruno, 10 – Perugia
Coordonnées	43° 06′ 25″ N, 12° 23′ 33″ E

Localisation sur la carte de Pérouse

• voir sur la carte d’Italie

Le musée national d’archéologie de l’Ombrie (en italien Museo archeologico nazionale dell’Umbria) est l’un des musées de la ville de Pérouse dans la région de l’Ombrieen Italie.

Son siège est installé dans l’ancien couvent San Domenico, accessible depuis la piazza Giordano Bruno, qui comporte deux cloîtres et les galeries des deux étages exposent une collection importante de sarcophages architectoniques, à couvercles figurés et des cippes de balisage des tombes.

Giacobbe Giusti, Musée national d’archéologie de l’Ombrie, Pérouse

Alignement des sarcophages dans la galerie supérieure.

Collections

Outre des pièces préhistoriques et romaines, y sont exposées principalement des collections prestigieuses de vestiges étrusquesavec les pièces maîtresses suivantes :

• Le sarcofago dallo Sperandio,
• Le cippo perugino,
• les bronzi arcaici di Castel San Mariano,
• une centaine de sarcophages en pierre, décorés de motifs mythologiques,
• des vases à figure noire et d’autres à figure rouge, datant du vii^e siècle av. J.-C. au iv^e siècle av. J.-C.,
• la Tomba dei Cai Cutu, la reconstitution d’une tombe majeure avec certains des éléments originaux du mobilier funéraire.

• 

  Le « cippo perugino »

• 

  La tombe reconstituée des Cai Cutu.

• 

  Sarcophage des époux.

• 

  Urne à inscription latine.

• 

  Bronzetti et statuette filiforme votive analogue à l’Ombra della sera de Volterra.

• 

  Vase avec bœufs et lions. Vers -640.

• 

  Thésée et le Minotaure. Vers -550.

• 

  Cavalier. Vers -500.

• 

  Nikè entre Zeus et Héra. Vers -350.

• 

  Tête de Méduse sur sarcophage. Vers iv^e siècle av. J.-C..

• 

  Reconstitution tombe Cai Cutu

Une exposition permanente sur les amulettes et porte-bonheur est également présente dans les lieux.

• M. Saioni, M. C. De Angelis (a cura di), … Ti mostrerò cose mai viste. Gli scavi di Belvedere nei diari di Umberto Calzoni, Perugia 2005
• M. Saioni (a cura di), Invito al Museo. Percorsi, immagini, materiali del Museo Archeologico Nazionale dell’Umbria, Perugia, 2009
• D. Manconi, Collezioni archeologiche e Musei di Perugia, in Paolo Vitellozzi, Gemme e cammei della Collezione Guardabassi nel Museo Archeologico Nazionale dell’Umbria a Perugia, Viterbo 2010, pp. 13–28
• L. Cenciaioli, Perugia, gli scavi nella Cattedrale, Bollettino di Archeologia on line II, 2011/2-3, pp. 44–60
• L. Benedetti, Glandes Perusinae: revisione e aggiornamenti, Roma 2012
• M. Cipollone, Un frammento del senatus consultum de honoribus Germanici al Museo Archeologico di Perugia, Epigraphica 74, 2012, pp. 83–107
• M. Cipollone, Ora possiamo chiamarla Tabula Tifernatis Tiberina…Identificazione del luogo di provenienza del frammento del senatusconsultum de honoribus Germanici conservato al Museo Archeologico di Perugia, Epigraphica 75, 2013, p. 502
• P. Bruschetti, A. Trombetta (a cura di), 1812-2012: I Principes di Castel San Mariano due secoli dopo la scoperta dei bronzi etruschi, Corciano 2013
• G. Cifani, L’ipogeo dei Cacni a Perugia: cronologia e ideologia, in La memoria ritrovata. Tesori recuperati dall’Arma dei Carabinieri, Catalogo della mostra (Roma, Palazzo del Quirinale, 23 gennaio – 16 marzo 2014), Roma 2014, pp. 178–183
• L. Cenciaioli (a cura di), Perugia. La città antica sotto la cattedrale di San Lorenzo. I risultati degli scavi, Perugia 2014

https://it.wikipedia.org/wiki/Museo_archeologico_nazionale_dell%27Umbria

http://www.giacobbegiusti.com

Giacobbe Giusti, Discobolus

Giacobbe Giusti, Discobolus

Giacobbe Giusti, Discobolus

Discobolus-Kunsthistorisches Museum

Giacobbe Giusti, Discobolus

Castelporziano Discobolus. Marble, Roman artwork, reign of Hadrian (117–138 CE).

Giacobbe Giusti, Discobolus

Roman bronze reduction of Myron’s Discobolus, 2nd century AD (Glyptothek, Munich)

Giacobbe Giusti, Discobolus

Dorieo e un altro autore – Opera propria

Discobolo. Marmo, copia romana da un originale in bronzo del V sec. a.C. da Mirone. Da Villa Adriana presso Tivoli

 

Giacobbe Giusti, Discobolus

The Townley Discobolus at the British Museum, Roman copy with incorrectly restored head.

Giacobbe Giusti, Discobolus

Discobole Lancellotti. Marbre, H. 1,55 m., copie romaine, vers 120 ap. J.-C., original : avant – 450, palais Massimo alle Terme

Giacobbe Giusti, Discobolus

Copia romana del British Museum, con la cabeza orientada de modo incorrecto.

Giacobbe Giusti, Discobolus

Bronze copy of Myron of Eleutherae’s « Discobolus » (discus thrower) in the University of Copenhagen Botanical Garden, Copenhagen, Denmark.

Giacobbe Giusti, Discobolus

Discobole Lancellotti. Marbre, H. 1,55 m., copie romaine, vers 120 ap. J.-C., original : avant – 450, palais Massimo alle Terme

Giacobbe Giusti, Discobolus

Discobole au repos, Athlète au disque dit « le Discophore », Musée des beaux-arts de Lyon.

Le Discobole est l’une des plus célèbres statues de l’Antiquité. Généralement attribuée à Myron, sculpteur athénien du v^e siècle av. J.-C., elle représente un athlète en train de lancer le disque. Myron, représentant du premier classicisme, était célèbre pour ses représentations d’athlètes, ce qui explique l’attribution. De plus, elle est mentionnée par Pline l’Ancien dans les Histoires Naturelles, où l’auteur livre la liste des œuvres réalisées par Myron.

Description

La statue originale représente un athlète nu, imberbe, figé alors qu’il prépare le lancer de son disque. La tête est tournée sur le côté. Le mouvement se déploie sur le côté, donnant une composition bidimensionnelle (ce qui est caractéristique du pré-classicisme). La composition est géométrisée, théorique. En effet, le bord des pectoraux est net, la musculature est faite de formes plastiques et théoriques qui se répondent. Le personnage, alors qu’en plein effort, est impassible, le regard serein et sans expression. Les paupières sont lourdes, le nez droit, la bouche charnue et légèrement entrouverte, la mâchoire épaisse, le menton fort. On idéalise son visage pour que son image gagne un aspect intemporel.

Découverte

L’original en bronze a été perdu. Seules demeurent des copies en marbre d’époque impériale. La plus célèbre d’entre elles est le Discobole Lancellotti, considérée comme la reproduction la plus fidèle de l’original. L’œuvre fut découverte sur le mont Esquilin au xviii^e siècleet vendue à la famille Massimo, devenue ensuite Massimo Lancelotti. Réalisée au ii^e siècle sous les Antonins, elle figure actuellement dans les collections du palais Massimo alle Terme, branche du Musée national romain, à Rome. Une autre copie connue, exposée dans le même musée, est le Discobole Castelporziano, découverte mutilée (la tête est perdue) dans le village homonyme en 1906, parmi les ruines d’une villa d’époque impériale. Cette copie est plus réaliste dans son traitement des volumes et témoigne des évolutions techniques survenues depuis entre le classicisme grec et la sculpture romaine impériale.

Représentation dans la culture grecque

Le mot discobole vient du grec ancienδισκοβόλος / diskobolos, « lanceur de disque ». Le disque grec était un palet de pierre ou de bronze d’environ 20 cm de diamètre. Il pesait plus de 5 kg. Parallèlement au type du discobole, on peut citer celui du discophore : un athlète au repos, tenant simplement le disque à la main.

La statue du discobole figure sur la pièce commémorative de 2 € frappée par la Grèce à l’occasion des Jeux olympiques d’Athènes de 2004. Le Discobole était l’une des plus grandes œuvres de Myron Éleuthères.

Bibliographie

• Bernard Holzmann, La sculpture grecque, Librairie générale française, coll. « Le livre de poche », 2010, 447 p.(ISBN 978-2253905998), p. 214-215
• Jean Charbonneau, La sculpture grecque classique, t. 1, Paris, Éditions de Cluny, 1945, 131 p., p. 22-28

Discobolus

Giacobbe Giusti, Discobolus

Roman bronze reduction of Myron’s Discobolus, 2nd century AD (Glyptothek, Munich)

The Discobolus of Myron (« discus thrower« , Greek: Δισκοβόλος, Diskobólos) is a Greek sculpture that was completed toward the end of the Severe period, circa 460–450 BC. The original Greek bronze is lost but the work is known through numerous Roman copies, both full-scale ones in marble, which was cheaper than bronze,^[1] such as the first to be recovered, the Palombara Discobolus, and smaller scaled versions in bronze.

A discus thrower is depicted about to release his throw: « by sheer intelligence », Kenneth Clarkobserved in The Nude, « Myron has created the enduring pattern of athletic energy. He has taken a moment of action so transitory that students of athletics still debate if it is feasible, and he has given it the completeness of a cameo. »^[2] The moment thus captured in the statue is an example of rhythmos, harmony and balance. Myron is often credited with being the first sculptor to master this style. Naturally, as always in Greek athletics, the Discobolus is completely nude. His pose is said to be unnatural to a human, and today considered a rather inefficient way to throw the discus.^[3] Also there is very little emotion shown in the discus thrower’s face, and « to a modern eye, it may seem that Myron’s desire for perfection has made him suppress too rigorously the sense of strain in the individual muscles, »^[2] Clark observes. The other trademark of Myron embodied in this sculpture is how well the body is proportioned, the symmetria.

The potential energy expressed in this sculpture’s tightly wound pose, expressing the moment of stasis just before the release, is an example of the advancement of Classical sculpture from Archaic. The torso shows no muscular strain, however, even though the limbs are outflung.

Reputation in the past

Giacobbe Giusti, Discobolus

The discobolus motif on an Atticred-figured cup, ca. 490 BC, is static by comparison.

Giacobbe Giusti, Discobolus

Roman discus thrower from Stabiae, Villa Arianna, 1st century AD

Myron‘s Discobolus was long known from descriptions, such as the dialogue in Lucian of Samosata‘s work Philopseudes:

« When you came into the hall, » he said, « didn’t you notice a totally gorgeous statue up there, by Demetrios the portraitist? » « Surely you don’t mean the discus-thrower, » said I, « the one bent over into the throwing-position, with his head turned back to the hand that holds the discus, and the opposite knee slightly flexed, like one who will spring up again after the throw? »

« Not that one, » he said, « that’s one of Myron‘s works, that Diskobolos you speak of… »

— Lucian of Samosata, Philopseudes c. 18^[4]

Discobolus and Discophorus

Prior to this statue’s discovery the term Discobolus had been applied in the 17th and 18th centuries to a standing figure holding a discus, a Discophoros, which Ennio Quirino Viscontiidentified as the Discobolus of Naukydes of Argos, mentioned by Pliny (Haskell and Penny 1981:200).

Discobolus Palombara or Lancellotti

The Discobolus Palombara, the first copy of this famous sculpture to have been discovered, was found in 1781. It is a 1st-century AD copy of Myron‘s original bronze. Following its discovery at a Roman property of the Massimo family, the Villa Palombara on the Esquiline Hill, it was initially restored by Giuseppe Angelini; the Massimi installed it initially in their Palazzo Massimo alle Colonne and then at Palazzo Lancellotti. The Italian archaeologist Giovanni Battista Viscontiidentified the sculpture as a copy from the original of Myron. It was instantly famous, though the Massimo jealously guarded access to it (Haskell and Penny 1981:200).

In 1937 Adolf Hitler negotiated to buy it, and eventually succeeded in 1938, when Galeazzo Ciano, Minister of Foreign Affairs, sold it to him for five million lire, over the protests of Giuseppe Bottai, Minister of Education, and the scholarly community. It was shipped by rail to Munich and displayed in the Glyptothek; it was returned in 1948. It is now in the National Museum of Rome, displayed at the Palazzo Massimo.

Townley Discobolus

Giacobbe Giusti, Discobolus

The Townley Discobolus at the British Museum, Roman copy with incorrectly restored head.

After the discovery of the Discobolus Palombara a second notable Discobolus was excavated, at Hadrian’s Villa in 1790, and was purchased by the English antiquary and art dealer established in Rome, Thomas Jenkins, at public auction in 1792. (Another example, also found at Tivoli at this date, was acquired by the Vatican Museums.) The English connoisseur Charles Townley paid Jenkins £400 for the statue, which arrived at the semi-public gallery Townley commissioned in Park Street, London, in 1794. The head was wrongly restored, as Richard Payne Knight soon pointed out, but Townley was convinced his was the original and better copy.

It was bought for the British Museum, with the rest of Townley’s marbles, in July 1805.^[5]

Other copies

Other Roman copies in marble have been recovered, and torsos that were already known in the 17th century but that had been wrongly restored and completed, have since been identified as further repetitions after Myron’s model. For one such example, in the early 18th century Pierre-Étienne Monnot restored a torso that is now recognized as an example of Myron’s Discobolus as a Wounded Gladiator who supports himself on his arm as he sinks to the ground; the completed sculpture was donated before 1734 by Pope Clement XII to the Capitoline Museums, where it remains.^[6]

Yet another copy was discovered in 1906 in the ruins of a Roman villa at Tor Paterno in the former royal estate of Castel Porziano, now also conserved in the Museo Nazionale Romano.^[7]

In the 19th century plaster copies of the Discobolos could be found in many large academic collections, now mostly dispersed.

• Athletes and athletics in ancient Greek art

Notes and references

1. Jump up^ Woodford, Susan. (1982) The Art of Greece and Rome. Cambridge: Cambridge University Press, p. 16. ISBN 0521298733
2. ^ Jump up to:^a b Clark, Kenneth. (2010) The Nude: A study in ideal form. New edition. London: The Folio Society, pp. 134–135.
3. Jump up^ An explanation for his inefficient discus throwing could be that the ancient Olympic sportsmen had a set rotation of three quarters before the discus was thrown. This rotation could well have been a deliberate handicap to make the sport more difficult.
4. Jump up^ The Lucian reference and Quintillian, ii.13.xviii-x, are noted by Haskell & Penny 1981, p. 200.
5. Jump up^ Tony Kitto, « The celebrated connoisseur: Charles Townley, 1737-1805 » Minerva MagazineMay/June 2005, in connection with a British Museum exhibition celebrating the bicentennial of the Townley purchase. [1]^{[permanent dead link]}
6. Jump up^ Haskell, Francis & Penny, Nicholas (1981), Taste and the Antique: the Lure of Classical Sculpture 1500-1900, New Haven: Yale University Press, pp. 200 & 227., ISBN 0-300-02641-2
7. Jump up^ Kenneth Clark illustrated it in the 1956 edition of The Nude, fig. 130, p.241, as « after Myron« .

External links

Discobolus.

• Myron’s Discobolus A discussion about the sculpture between Dr. Beth Harris & Dr. Steven Zucker on video at Khan Academy/Smarthistory
• British Museum collection record, GR 1805.7-3.43 (Sculpture 250).
• Skulpturhalle, Basel collection record(German), 69-30/SH 948
• Capitoline Museum collection record, MC0241

https://fr.wikipedia.org/wiki/Discobole

http://www.giacobbegiusti.com

 

 

 

Giacobbe Giusti, Cippe de Pérouse

Giacobbe Giusti, Cippe de Pérouse

Giacobbe Giusti, Cippe de Pérouse

Giacobbe Giusti, Cippe de Pérouse

Face avant du cippe de Pérouse dit Cippo perugino.

Giacobbe Giusti, Cippe de Pérouse

Transcription du texte du cippo perugino

Le cippe de Pérouse est une stèle en travertindécouverte en 1822 à Colle San Marco près de Pérouseet contenant, gravés sur deux faces latérales, quarante-six lignes et cent trente mots étrusques, relatant un acte juridique. Il s’agit d’un des plus longs textes étrusques connu et du plus grand texte étrusque relatif à un contrat passé entre deux familles (Velthina, de Pérouse, et Afuna, de Chiusi) à propos des limites des domaines respectifs, avec les désignations des parties, des lois invoquées et du dignitaire faisant l’arbitrage¹.

Une salle lui est consacrée au Musée national d’Archéologie de l’Ombrie avec la transcription du texte sur un tableau didactique.

Texte intégral

Face avant :

Teurat tan-na larezu-l am-e vaχr.

Lautn Velθina-š, ešt-la Afuna-s, slel eθ car-u tezan,

fušler-i tesn-š tei-š Rašne-š ipa am-a hen.

Naper χi-i Velthinaθur-aš ar-aš,

perašcem-ul mlesc-ul, zuci enesc-i ep-l, tular-u.

Aule-ši, Velθina-š Arzna-l, clen-ši,

θi-i θi-l šcuna cen-u, epl=c feli=c Larθal-š Afuni-š,

clen, θunχul θe fala-š.

Χi=em fušl-e, Velθina hinθa cap-e, muni=cle-t, mas-u,

naper šran=c tl, θi-i falš-ti.

Veltina hut naper penez-š mas-u.

Acnina cl-el Afuna, Velθina mler zin-ia.

In temam-er cn-l Velθina zi-a šaten-e tesn-e,

Eca Velθinaθur-aš taura hel-u tesn-e Rašn-e ce-i.

Tesn-š tei-š Rašne-š χimθ, špel θuta šcu-na, Afuna men-a hen.

Naper ci cn-l har-e ut-uš-e.

Face latérale gauche:

Velθina šatena zuci enesc-i ipa spelane-θi fulum-χva.

spel-θi, rene-θi.

Esta=c Velθina, acil-un-e, tur-un-e, šcu-n-e.

Ze-a zuci enesc-i aθumi=cš.

Afuna-š penθ-na am-a.

Velθina, Afun[a]θur, un-i ei-n zeri, una cla θi-l θunχulθ-l.

Iχ ca ceχa ziχ-uχ-e.

Composition du texte

L’inscription est rédigée en alphabet étrusque (écrit de droite à gauche) en usage en l’Étrurie septentrionale entre les iii^e et ii^e siècles av. J.-C.. La face avant du cippe comporte 24 lignes et la face latérale gauche 22.

La face principale est divisée en quatre paragraphes avec des coupures aux lignes 8, 11 et 19. La première ligne est centrée et écrite avec des caractères plus grands. La ligne 12 comporte une pause à droite laissant supposer le complément de la ligne suivante (13).

Le graveur a écrit la fin de la ligne 13 au bout droit la ligne 12, en le déplaçant à gauche, selon une habitude des scribes déjà remarquée sur un autre texte étrusque, les bandelettes de la Momie de Zagreb, pour ne pas trahir le contenu de la phrase.

Sur le flanc gauche, ligne 9, est inscrite la correction d’une erreur par rapport aux règles. Ici les mots sont séparés par un point, alors que sur la face avant, le même usage du point semble plutôt marquer une scansion d’une rhétorique poétique entre les noms de personnes, les formules…

Sens du texte

Le texte fait référence à deux familles, dont le nom figure au début, précédé du mot lautn (famille en étrusque), les Velthina (de Pérouse) et les Afuna (écrit ANV8A) (de Chiusi). Le mot étrusque tular qui signifie « limite (de terrain) » précise que le cippe marque une limite. Le texte est interprété comme un jugement ou un arbitrage concernant la répartition et l’usage d’une propriété² sur laquelle se trouvait une tombe des membres de la famille des Velthina, avec les détails suivants :

• Lignes 1-2 : il est mentionné le nom du juge ([t]eurat) Larth Rezu, en présence duquel est passé(ame) un accord (sens probable de vachr) entre les deux familles².
• Ligne 5 : il est fait référence au concept de « étrusque » ou « public » (rasnes), une source du droit qui fonde l’acte.

• Lignes 5-6 : le mot naper devant le nombre XII indique probablement la mesure de surface².

• Ligne 8 : exprime la notion de frontière (tularu).
• Lignes 20-21 : font allusion à la tombe des Velthina (Velthinathuras thaura).

L’inscription se termine, sur la face gauche du cippe, par la formule qui conclut un document juridique : Iχ ca ceχa ziχ-uχ-e, « comme cela (ich ca) a été écrit (zichuche) au-dessus (cecha) »².

Bibliographie

• Dominique Briquel, Les Étrusques, Presses Universitaires de France – PUF, coll. « Que sais-je », 2005, 126 p.(ISBN 9782130533146)

Notes et références]

1. ↑ Notice du musée archéologique de Pérouse
2. ↑ ^{a, b, c et d} Briquel 2005, p. 113-114

Sources

• Texte de la Soprintendenza per i Beni Archeologici dell’Umbria, du 04/10/2005, modifié en dernier le 07/01/2008.

Giacobbe Giusti, Cippe de Pérouse

Cippus Perusinus

Giacobbe Giusti, Cippe de Pérouse

The Cippus of Perugia, 3rd or 2nd century BCE

Giacobbe Giusti, Cippe de Pérouse

Side view

The Cippus Perusinus is a stone tablet discovered on the hill of San Marco, near Perugia, Italy, in 1822. The tablet bears 46 lines of incised Etruscan text. The cippus is assumed to be a text dedicating a legal contract between the Etruscan families of Velthina (from Perugia) and Afuna (from Chiusi), regarding the sharing or use of a property upon which there was a tomb belonging to the noble Velthinas.^[1][2]

The date of the inscription is considered to be 3rd or 2nd century BC. The Cippus is conserved in the National Archeological Museum of Perugia.^[1]

Original text

Text transcription

Further information: Etruscan alphabet

eurat tanna larezul ame vaχr.

Lautn . Velθina-ś, eśtla Afuna-s, sleleθc aru ::tezan,

fuśle-ri tesn-ś tei-ś Raśne-ś ipa ama hen.

NaperXII (12) Velthina θuraś araś,

pe raścemulml escul, zuci en esci epl, tularu.

Auleśi, Velθina-ś Arznal, clenśi,

θii θil ścun’a cenu, eplc felic Larθal-ś Afune-ś,

clen, θunχ ulθe fala-ś.

Χi=em fuśle, Velθina hinθa cape, municlet, masu,

naper śran . ctl, θii falśti.

Veltina hut naper penez-ś masu.

Acnina clel Afuna, Velθina mler zinia.

Intemame r cnl Velθina zia śatene tesne,

Eca Velθina θuraś θaura hel-u tes ne Raśne cei.

Tesn-ś tei-ś Raśne-ś χimθ, śpel θuta ścun’a, Afuna mena hen.

Naperci (3)cnl hare utuśe.

Reverse side:

Velθina śatena zu ci en esci ipa spel ane-θi fulum-χva.

spel-θi, re ne-θi.

Estac Velθina, acil-un-e, turune, ścu-n-e.

Zea zu ci en esci aθumi=cś.

Afuna-ś penθn-a ama.

Velθina, Afun[a]θuruni ein zeri, una cla θil θunχulθ-l.

Iχ ca ceχa ziχuχe.

Supplamentry for the word clel found in the main inscription in the Golini Tomb 1 at Orvieto.

me’ch’l um rasneas clevsinsl: zila’ch’nve pulum (stars).

rumitrinei : ma?ce . clel . lu?[

Supplamentry for the wordnaper,from a cippus found at Volterra.

l : titesi :cale ‘s’i

cina : c’s’ : mes [month] tle’s’

[mes, month in Spanish, mese in Italian]

hu’th’ [six]: naper’lescan

letem : ‘th’ui :

ara’s’a : ‘th’en tma

se : laei  : tre c’s’

‘th’en’s’t : me ua’th’a

Supplamentry from the Liber Linteus Column X for comparison

for the words aru,ame,ipa, θuta, cnl, ama.

5 aru’s’ . ame . acnesem . ipa . se’th’umati . siml’ch’a

6 ‘th’ui . turve . acil . ham’ph’e’s’ . lae’s’ . sulu’s’i

7 ‘th’uni . ‘s’er’ph’ue . acil . ipei . θuta . cnl . ‘ch’a’s’ri

8 he’ch’z . sul . sc vetu (carpenter=Latin Faber). ca’th’nis . ::‘s’canin . vei’th’a

9 Ipe . ipa . ma’th’cva ‘ . ama . trinum (three). hetrn . acl’ch’n

https://en.wikipedia.org/wiki/Cippus_Perusinus

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Giacobbe Giusti, Pietro PERUGINO: Madonna with Child Enthroned between Saints John the Baptist and Sebastian

Giacobbe Giusti, Pietro PERUGINO: Madonna with Child Enthroned between Saints John the Baptist and Sebastian

Giacobbe Giusti, Pietro PERUGINO: Madonna with Child Enthroned between Saints John the Baptist and Sebastian

Artist	Pietro Perugino
Year	1493
Medium	Oil on panel
Dimensions	178 cm × 164 cm (70 in × 65 in)
Location	Uffizi Gallery, Florence

Madonna with Child Enthroned between Saints John the Baptist and Sebastian is a painting by the Italian Renaissance artist Pietro Perugino, executed in 1493, and housed in the Uffizi Gallery, Florence.

History

The work was commissioned by Cornelia Salviati, widow of Venetian merchant Giovanni Martini, and his son Roberto, for the chapel of the convent of San Domenico, Fiesole, which had been perhaps restored by Giuliano da Sangallo a few years before. In 1493 Perugino had married Chiara Fancelli, the daughter of architect Luca Fancelli: the face of the Madonna is a portrait of her.

Detail of St. Sebastian’s face.

In 1786 the panel was acquired for 1000 Italian scudi by Peter Leopold, Grand Duke of Tuscany, becoming part of the future Uffizi Gallery. The original chapel was redecorated by a painting by Lorenzo di Credi; the one now in the church is a copy by Garibaldo Ceccarelli.

It was restored in 1995.

Description

The background, this time featuring two bays, is one of the many porticoes painted by Perugino in the 1480s and 1490s (in works such as the Fano Altarpiece or the Pietà. Also typical is the serene landscape with thin trees.

Mary sits on a high throne decorated with grotesques at the base, where it is also the signature PETRVS PERVSINVS PINXIT AN[NO MCCCCLXXXXIII (Pietro Perugia 1493). She holds the child on her knees, as he looks towards John the Baptist on the left; John, in turn, points at him. On the right is the common representation of St. Sebastian martyred by arrows, his contemplative gaze directed to the heavens.

The composition was one of the first examples in Florence of the new style of Holy Conversationelaborated in Venice by Antonello da Messina and Giovanni Bellini a few years before, with a pyramidal development pivoting on the central figure of Mary on a high throne. The painting is also one of the first by Perugino in which the Madonna is no longer an elegant maid, but a more mature and severe woman, according to the more sober climate introduced in Florence by Girolamo Savonarola. Another example of this evolution is the Madonna with Child with St. Catherine of Alexandria in the Kunsthistorisches Museum of Vienna.

Madonna and saints from San Domenico di Fiesole (Perugino).

• Garibaldi, Vittoria (2004). « Perugino ». Pittori del Rinascimento (in Italian). Florence: Scala.

https://en.wikipedia.org/wiki/Madonna_with_Child_Enthroned_between_Saints_John_the_Baptist_and_Sebastian

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Giacobbe Giusti, DOMENICO di BARTOLO

Giacobbe Giusti, DOMENICO di BARTOLO

Giacobbe Giusti, DOMENICO di BARTOLO

Giacobbe Giusti, DOMENICO di BARTOLO

Giacobbe Giusti, DOMENICO di BARTOLO

Giacobbe Giusti, DOMENICO di BARTOLO

Madonna dell’Umiltà (1433), Pinacoteca Nazionale, Siena

Giacobbe Giusti, DOMENICO di BARTOLO

Detail aus Madonna e bambino sul trono coi Santi Pietro e Paolo (1430), National Gallery of Art, Washington

Giacobbe Giusti, DOMENICO di BARTOLO

Cura e governo degli infermi, Santa Maria della Scala, Siena

Giacobbe Giusti, DOMENICO di BARTOLO

Distribuzione delle elemosine, Santa Maria della Scala, Siena

Giacobbe Giusti, DOMENICO di BARTOLO

Elemosina del vescovo e accrescimento dell’ospedale, Santa Maria della Scala, Siena

Domenico di Bartolo (eigentlich Domenico Ghezzi, * um 1400 in Asciano; † um 1445 in Siena) war ein italienischer Maler der Schule von Siena.

Leben

Domenico Ghezzi di Bartolo wurde in Asciano nahe Siena geboren und war laut Giorgio Vasaris Werk Le vite dei più eccellenti architetti, pittori et scultori italiani ein Neffe von Taddeo di Bartolo. Dieser war auch sein erster Lehrmeister^[1]. Später scheint er auch bei Vecchiettagelernt und ihm bei der Ausführung des Werkes La Cura del Malato im Pellegrinaio-Saal von Santa Maria della Scala in Siena geholfen zu haben. Erstmals aktiv als Maler scheint er 1420 im Dom von Sienagewesen zu sein, wahrscheinlich noch als Lehrling, da er als selbständiger Künstler in Siena erstmals 1428 in der Malerzunft gelistet wurde. Er erstellte im Dezember 1434 den Entwurf des Fußboden-Sgraffitos im ersten Querschiff des Doms von Siena, der den thronenden Kaiser Sigismund darstellt. Im März 1435 malte er in der Sakristei des Domes auf Initiative von Jacopo della Querciadie Fresken Storie dei quattro prottetti di Siena, die allerdings unvollendet blieben. Sein Nachname Ghezzi wird erstmals 1437 in einem von ihm unterschriebenen Vertrag in Siena erwähnt. Um 1438 arbeitete er in Perugia, wo er Domenico Venezianokennenlernte. Spätestens ab März 1439 war er wieder in Siena, wo er abermals in der Sakristei des Domes wirkte und diesmal sein Werk vollendete (Storia di San Savino, fertiggestellt im September 1439).

1440 heiratete er Antonia di Pace Pannilini. Im selben Jahr begann er, beauftragt vom Rektor Giovanni Buzzichelli, seine Arbeiten im Pellegrinaio-Saal von Santa Maria della Scala in Siena, wo er für den Hauptteil der Fresken verantwortlich war. Dort entstanden seine Hauptwerke, bei deren Ausführung ihm teilweise Priamo della Querciahalf. Um 1444/45 begann er im Palazzo Pubblico im Sala della Cancelleria di Biccherna in Siena mit der Neugestaltung des Werkes Incoronazione della Madonna, welches 1352 von Lippo Vannigemalt wurde. Dieses wurde, wahrscheinlich aufgrund seines Todes, nicht von ihm, sondern von Sano di Pietro fertiggestellt.

Werke

• Perugia, Convento di Santa Giuliana: Madonna e il Bambino fra i santissimi Benedetto, Giovanni Battista, Giuliana e Bernardo, (1438 entstanden), auch als Polittico di Santa Giuliana bezeichnet, heute in der Galleria nazionale dell’Umbriaaufbewahrt.
• Philadelphia, Philadelphia Museum of Art: Vergine e bambino (1437 entstanden)
• Siena, Dom: Sigismondo in trono tra i suoi consiglieri (Sgraffito, 1434 entstanden)
• Siena, Pinacoteca Nazionale:
  • La Madonna della Misericordia (Zwei Teilstücke des Freskos, der Hauptteil befindet sich noch in Santa Maria della Scala)
  • Madonna dell’Umiltà (Saal 9, 1433 entstanden)
  • San Matteo e San Galgano(Saal 10)
• Siena, Santa Maria della Scala, Pellegrinaio-Saal: (Fresken, 1440 bis 1444 entstanden)
  • Accoglimento e nozze dei trovatelli
  • Cura e governo degli Infermi
  • Distribuzione delle elemosine
  • Elemosina del vescovo e accrescimento dell’ospedale, auch La limosina del vescovooder Ampliamento dell’Ospedale della Scalagenannt
  • Il banchetto dei poveri
  • Papa Celestino III concede privilegi di autonomia all’ospedale
• Washington, D.C., National Gallery of Art: Madonna e bambino sul trono coi Santi Pietro e Paolo (1430 entstanden)

Literatur

• Domenico di Bartolo. In: Ulrich Thieme, Fred. C. Willis (Hrsg.): Allgemeines Lexikon der Bildenden Künstler von der Antike bis zur Gegenwart. Begründet von Ulrich Thieme und Felix Becker. Band 14: Giddens–Gress. E. A. Seemann, Leipzig 1921, S. 535–537 (Textarchiv – Internet Archive).
• Maria Elena Massimi: Ghezzi, Domenico (Domenico di Bartolo). In: Mario Caravale (Hrsg.): Dizionario Biografico degli Italiani (DBI). Band 53 (Gelati–Ghisalberti), Istituto della Enciclopedia Italiana, Rom 1999, S. 673–677.
• Piero Torriti: Tutta Siena. Contrada per Contrada, Edizioni Bonechi, Florenz 2004, ISBN 88-7204-456-1.

https://de.wikipedia.org/wiki/Domenico_di_Bartolo

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