Giacobbe Giusti, MARIOTTO ALBERTINELLI: Visitation, Uffizi
Giacobbe Giusti, MARIOTTO ALBERTINELLI: Visitation, Uffizi
Autore | Mariotto Albertinelli |
---|---|
Data | 1503 |
Tecnica | olio su tavola |
Dimensioni | 232,5×146,5 cm |
Ubicazione | Uffizi, Firenze |
Giacobbe Giusti, MARIOTTO ALBERTINELLI: Visitation, Uffizi
Giacobbe Giusti, MARIOTTO ALBERTINELLI: Visitation, Uffizi
Autore | Mariotto Albertinelli |
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Data | 1503 |
Tecnica | olio su tavola |
Dimensioni | 232,5×146,5 cm |
Ubicazione | Uffizi, Firenze |
Giacobbe Giusti, SPINELLO ARETINO
Stories from the Legend of St Benedict
Giacobbe Giusti, SPINELLO ARETINO
Santo Stefano, Galleria dell’Accademia, Firenze
Giacobbe Giusti, SPINELLO ARETINO
Trittico della Madonna in trono e santi, Galleria dell’Accademia, Firenze
Giacobbe Giusti, SPINELLO ARETINO
Storie di Alessandro III, Palazzo comunale, Siena
Giacobbe Giusti, SPINELLO ARETINO
Incoronazione di papa Alessandro III. Affresco di Spinello Aretino per il Palazzo Pubblico (Siena).
Giacobbe Giusti, SPINELLO ARETINO
Annunciation
Giacobbe Giusti, SPINELLO ARETINO
Salome
Giacobbe Giusti, SPINELLO ARETINO
Story of St Benedict (fragment)
Spinello Aretino, né Spinello di Luca Spinelli (Arezzo ~1350 – 1410) est un peintre italien gibelin dont la famille florentine s’était réfugiée à Arezzo.
Il est le grand-oncle de Niccolò di Forzore Spinelli.
Spinello Aretino est l’élève de Jacopo del Casentino. Il sera influencé par Andrea Orcagna, disciple de Giotto di Bondone et l’école siennoise.
https://fr.wikipedia.org/wiki/Spinello_Aretino
Giacobbe Giusti, Villa Medicea di Castello
Giacobbe Giusti, Villa Medicea di Castello
La Villa di Castello, médaillon de Giusto Utens, Museo di Firenze com’era
Giacobbe Giusti, Villa Medicea di Castello
Giacobbe Giusti, Villa Medicea di Castello
La Villa Medicea di Castello est une villa médicéenne qui se situe dans la zone collinaire de Castello à Florence.
La villa, qui datait du XIVe siècle, fut acquise à la famille De Stufa vers 1480, par Lorenzo et Jean le Popolano, appartenant à la branche « populaire » de la famille Médicis, qui l’agrandirent et l’enrichirent d’œuvres d’art. Lorenzo[1], fut un des plus grands commanditaires de Sandro Botticelli : il lui commanda La Naissance de Vénus (1485) pour décorer cette villa, après avoir reçu pour son mariage, de Laurent le Magnifique son cousin et son tuteur, le Printemps et Pallas et le Centaure, de grandes peintures maintenant aux Offices.
À la mort de Jean, la Villa a été transmise par héritage à la veuve et à son fils Jean des Bandes Noires qui y résida avec sa femme Maria Salviati et son fils Cosme. À l’époque la villa était constituée d’une cour, d’une sala terrena avec loggiato, de cuisines et d’étables.
En avril 1527, de duc d’Urbin établissait son quartier général dans la villa : il dirigeait une armée composée de soldats, papistes et français, que Clément VII et François Ier avaient envoyé en aide à Florence, menacée par Charles Quint.
En 1529 les Otto di Guerra e di Balia commandèrent de détruire les récoltes, maisons, villas, églises, murs et arbres autour de la ville, pour empêcher l’ennemi de trouver des vivres, logements, constructions à fortifier : même les habitants du château durent évacuer le bourg et courir à Florence. La villa fut pillée et incendiée pendant le siège de Florence (1529-1530), comme la presque totalité des autres structures extra-muros, mais avec des dégâts mineurs pour la villa.
En 1538, Cosme, devenu Grand-Duc, fit restructurer la villa par Giorgio Vasari et commissionna Niccolò Tribolo pour le projet du jardin, un jardin à l’italienne qualifié par Vasari de ricchi giardini d’Europa.
La villa passa aux mains de Ferdinand Ier de Médicis, le fils de Cosme, qui la compléta entre 1588 et 1595, puis à Cosme III de Médicis qui y avait ses collections de tableaux de natures mortes.
Au maximum de sa splendeur la villa fut visitée deux fois par Michel de Montaigne (en 1580 et en 1581), et une fois par Joseph Furttenbach.
Aujourd’hui la villa, est appelée Villa Reale, l’Olmo ou le Vivaio, et n’est pas ouverte au public car elle héberge l’Accademia della Crusca. Le jardin est géré par la Soprintendenza pour le pôle muséal de Florence.
Son jardin à l’italienne a été dessiné par Le Tribolo et on y trouve la statue d’Hercule et Antée sculptée par Bartolomeo Ammannati.
Cosme III commanda pour sa décoration, des natures mortes représentant la flore à Bartolomeo Bimbi. Celles pour le pavillon de chasse de la Topaia, sur les hauteurs de la résidence, décrivaient très précisément les différentes variétés de fruits[3]. La plupart de ces œuvres se trouvent aujourd’hui dans le musée de la nature morte qui occupe le second et dernier étage de la Villa médicéenne de Poggio a Caiano. Il avait également dans la collection de cette Villa, une œuvre d’Andrea Scacciati, représentant un vase avec des fleurs, aujourd’hui au palais Pitti[4].
La Maestà di Santa Trinita (Vierge à l’Enfant au trône et les anges) est un tableau peint par Cimabue en tempera sur panneau de 385 × 223 cm, conservée au musée des Offices de Florence, visible et mise en regard dans la même salle (salle no 2 dite salle des Maestà), avec deux autres Maestà de référence : la Madone Rucellai de Duccio et la Vierge d’Ognissanti de Giotto.
Le tableau fut peint par Cimabue pendant un temps de rémission de ses grandes peintures à fresque à la basilique Saint-François d’Assise. Revenu à Florence pour cette pause de 1280 à 1290, il fut commissionné par l’ordre monastique des Vallombrosains pour une des plus grandes églises de la ville, la Basilique Santa Trinita.
Au Quattrocento, le tableau fut déplacé du maître-autel de l’église de Santa Trinita, dans une chapelle de moindre importance et ensuite dans l’infirmerie.
En 1810, pendant la suppression napoléonienne des couvents, il fut transférée à la Galerie de l’académie des beaux-arts et puis, en 1919, il rejoignit les Offices.
Il s’agit d’une Maestà, un thème de l’iconographie de la peinture chrétienne de la Vierge à l’Enfant trônant en majesté, entourée d’anges, de saints et de prophètes.
La Vierge assise sur le trône, porte l’Enfant dans ses bras et sur ses genoux. L’enfant Jésus tient dans sa main gauche un rouleau. Il a deux doigts de sa main droite levés en signe de bénédiction. Ils sont entourés d’anges au nombre de huit, identiques, dupliqués, répartis à gauche et à droite.
Sous le trône architecturé des niches comportent des prophètes de l’Ancien Testament, deux au centre (David et Abraham), et ceux placés dans les niches extrêmes (Jérémie et Isaïe) ont le regard porté vers le couple central. Tous les autres personnages portent leurs regards vers le spectateur.
Tous les personnages portent une auréole, circulaire doré comme le fond du tableau.
Toutes les principes de la peinture byzantine sont exprimés dans ce tableau : fond doré, Vierge et l’Enfant symboliquement plus grands que les autres personnages, le trône symbolique lui aussi, mêle siège et architecture (niches des prophètes placés plus bas, comme fondation). Les auréoles sont toutes identiques, circulaires quelle que soit l’orientation de la tête, car il faudra attendre la Vierge d’Ognissanti de Giotto pour que la perspective à point de fuite s’affirme dans le dessin du trône et celui des auréoles.
Les rangs des anges sont plus superposés que perspectifs et ils ne semblent pas différenciés (similitude et répétition et duplication des poses). Ils constitue néanmoins une foule plus humaine que les anges isolés, flottant dans les airs, de la Madonne Rucellai de Duccio.
https://fr.wikipedia.org/wiki/Maest%C3%A0_di_Santa_Trinita_(Galerie_des_Offices)