Giacobbe Giusti, GIOVANNI di PAOLO: La Création et l’expulsion du Paradis
Giacobbe Giusti, GIOVANNI di PAOLO: La Création et l’expulsion du Paradis
https://fr.wikipedia.org/wiki/Giovanni_di_Paolo
Giacobbe Giusti, GIOVANNI di PAOLO: La Création et l’expulsion du Paradis
Giacobbe Giusti, GIOVANNI di PAOLO: La Création et l’expulsion du Paradis
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Giacobbe Giusti, BERNARDO DADDI: Crucifixion
Giacobbe Giusti, BERNARDO DADDI: Crucifixion
Bernardo Daddi(Florence, vers 1290 – Florence, 13481) est un peintre italien de style du gothique italien du Trecento (xive siècle italien).
Giacobbe Giusti, ROSSELLO di Jacopo Franchi
Giacobbe Giusti, ROSSELLO di Jacopo Franchi
Rossello di Jacopo Franchi (Florence, env. 1377 – env. 1456) est un peintre et un enlumineur[1]italien de la Renaissance de l’école florentine perpétuant le style gothique international.
D’abord élève de Lorenzo Monaco, Rossello di Jacopo Franchi est inscrit à la corporation des peintres de Florence (Arte dei Medici e Speziali) en 1424 comme un possible élève de Mariotto di Nardo.
Suiveur de Bicci di Lorenzo, il se distingue personnellement par sa minutie et la grâce de ses œuvres.
En 1443, il peint les douze figures des apôtres pour la cathédrale de Florence avec Bicci di Lorenzo et Lippo di Corso et, entre 1446 à 1456, il collabore avec Ventura di Moro aux fresques de la Vie de saint Pierre sur les arches de la Loggia del Bigallo. Il signe également Saint Blaise au trône, Le Couronnement de la Vierge, et un Couronnement de la Vierge daté et signé.
Giacobbe Giusti, CIMABUE: mosaics in the Florence Baptistry
Giacobbe Giusti, CIMABUE: mosaics in the Florence Baptistry
Giacobbe Giusti, CIMABUE: mosaics in the Florence Baptistry
Giacobbe Giusti, CIMABUE: mosaics in the Florence Baptistry
Giacobbe Giusti, CIMABUE: mosaics in the Florence Baptistry
Giacobbe Giusti, CIMABUE: mosaics in the Florence Baptistry
Cenni di Pepo[N 1] dit Cimabue[N 2] (vers 1240[N 3], Florence[N 4] – 1302[N 5], Pise[N 6]?) est un peintre italien majeur, l’une des plus grandes figures de la pré-Renaissance.
Cimabue assure le renouvellement de la peinture byzantine en rompant avec son formalisme et en introduisant des éléments de l’art gothique, tels que le réalisme des expressions des personnages. De ce point de vue, il peut être considéré comme l’initiateur d’un traitement plus réaliste des sujets traditionnels, ce qui en fait le précurseur du réalisme de la Renaissance florentine.
« [Cimabue] triompha des habitudes culturelles grecques qui semblaient passer de l’un à l’autre : on imitait sans jamais rien rajouter à la pratique des maîtres. Il consulta la nature, corrigea en partie la raideur du dessin, anima les visages, plia les tissus, plaça les personnages avec beaucoup plus d’art que ne l’avaient fait les Grecs. Son talent ne comportait pas la grâce ; ses Madones ne sont pas belles, ses anges dans un même tableau sont tous identiques. Fier comme le siècle où il vécut, il réussit parfaitement les têtes des hommes de caractère et spécialement celles des vieillards, leur imprimant un je ne sais quoi de fort et de sublime que les modernes n’ont pu dépasser. Large et complexe dans les idées, il donna l’exemple des grandes histoires et les exprima en grandes proportion. »
— L. Lanzi , Storia pittorica della Italia (1795-1796)[1]
Son influence est immense dans toute l’Italie centrale entre 1270 et 1285 environ[N 7] :
« Avec ses surprenantes capacités d’innovation et avec la puissance imaginative qui lui a permis les grands effets d’Assise, Cimabue fut de loin le peintre le plus influent de toute l’Italie centrale avant Giotto ; mieux : il en fut le point de référence. »
— L. Bellosi, Cimabue (1998)[2]
Développée et éclipsée par ses deux géniaux disciples Duccio et Giotto, son impulsion réaliste innerve ainsi le cœur de la peinture italienne et plus généralement occidentale.
Notre perception de Cimabue a cependant été faussée pendant des siècles par le portrait qu’en a donné Vasari dans sa première Vie, biographie s’inscrivant dans une vision campaniliste à la gloire de Florence (écartant de facto Giunta Pisano) et dont le principal objectif est de servir d’introduction et de faire-valoir à celle de Giotto. Le simple fait qu’il soit dans les Vite a longtemps rendu inacceptable sa formation pisane, les biographies continuant systématiquement à le rattacher à Coppo di Marcovaldo – le florentin le plus illustre le précédant. Et le retrait de la Madone Rucellai du catalogue de Cimabue en 1889 – œuvre clef du dispositif vasarien – a même un temps remis en cause la véracité de son existence.
La ré-évaluation de Cimabue s’est aussi heurtée à une malédiction persistante dont souffre le maigre corpus d’œuvres parvenues jusqu’à nous : la céruse (blanc de plomb) utilisée dans les fresques de la basilique supérieure Saint François d’Assise est, par oxydation, devenue noire, transformant les œuvres en un négatif photographique déroutant voire illisible; le sublime Crucifix de Santa Croce a subi des dommages irréversibles lors de l’inondation de Florence en 1966, et enfin le tremblement de terre de 1997 a fortement endommagé la voûte des quatre évangélistes – la partie jusqu’alors la mieux préservée des fresques de la basilique supérieure de Saint François d’Assise, pulvérisant notamment le saint Matthieu.
https://fr.wikipedia.org/wiki/Cimabue