Giacobbe Giusti, Théodoric le Grand
Theodoric’s Palace – Sant’Apollinare Nuovo – Ravenna
Giacobbe Giusti, Théodoric le Grand
Ravenna, sant’apollinare nuovo cristo divide le pecore dai capretti (inizio del VI secolo)
Giacobbe Giusti, Théodoric le Grand
Ravenna, sant’apollinare nuovo, il porto di classe (inizio del VI secolo
Giacobbe Giusti, Théodoric le Grand
Basilica di Sant’Apollinare Nuovo a Ravenna: « Il palazzo di Teodorico ». Mosaico di scuola ravennate italo-bizantina, completato entro il 526 d.C. dal cosiddetto « maestro di Sant’Apollinare ». Dopo la sconfitta del re goto Teodorico, i mosaici murali del suo palazzo e questi della cattedrale furono rifatti dai bizantini per cancellare ogni traccia dei precedenti dominatori. I dignitari Goti di questo mosaico furono frettolosamente rimpiazzati da tende, probabilmente per mancanza di tempo. Rimangono diverse tracce del mosaico precedente: per esempio un pezzo di un braccio sulla terza colonna da sinistra.
Giacobbe Giusti, Théodoric le Grand
Giacobbe Giusti, Théodoric le Grand
La pierre de Rök nous parle de Théodoric chef des guerriers de la mer, de sa famille et de son peuple.
Monnaie à l’effigie de Théodoric le Grand. |
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Titre | |
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Roi des Ostrogoths | |
– | |
Prédécesseur | Thiumidir |
Successeur | Athalaric |
Biographie | |
Dynastie | Amales |
Date de naissance | v. 455 |
Date de décès | |
Lieu de décès | Ravenne |
Père | Thiumidir |
Mère | Ereuleva |
Fratrie | Amalafrida, reine des Vandales Theodimund Argota Amali |
Conjoint | N. de Mésie Audoflède Theodora |
Enfants | Ostrogotho Areagni Thiudigotho Amalasonte Theodora |
Résidence | Ravenne |
Théodoric dit le Grand ou l’Amale(en latin : Flāvius Theodoricus, en grec: Θευδερίχος, parfois en français Thierry1) né vers 455 et mort le à Ravenne, est un roi des Ostrogoths.
Giacobbe Giusti, Théodoric le Grand
Théodoric, membre de la dynastie des Amales, est le fils de Thiudimir qui avait pour frère aîné Valamir et pour frère cadet Vidimir. Tous trois étaient fils de Vandalarius(es) et cousins du roi Thorismod2. Thiudimir3règne conjointement avec ses deux frères et s’affirme comme un fidèle vassal d’Attila, roi des Huns.
Valamir participe aux opérations menées par les Huns, ainsi en 447 lors des raids d’Attila dans les provinces du Danube ou en 451 lors de la bataille des champs Catalauniques, durant laquelle il exerce le commandement de ses troupes4. Après la mort d’Attila en 453, Valamir s’affirme comme le chef des Goths installés en Pannonie. Il mène ainsi la lutte contre les Huns affaiblis, en 456 et 457. Lors de cette guerre, il met en déroute les fils d’Attila, à la bataille de la Nedao5,6.
Jeunesse
Né vers 455 sur les bords du lac de Neusiedl près de Carnuntum7 en Pannonie, le fils de Thiudimir et d’Ereuleva, encore enfant, est envoyé à Constantinople et sert d’otage pendant neuf ans, en garantie du traité conclu par son père avec l’Empire byzantin8. Élevé comme un Romain pendant 10 ans, bien traité par les empereurs Léon Ier et Zénon, il apprend beaucoup sur le gouvernement et la conduite militaire d’un empire (Aspar aurait été son professeur)9. « Les premières années de Théodoric rappellent le nourrisson des forêts, l’habitant nomade des basternes10 plutôt que le fils des rois. Point d’autre pompe autour de lui que l’attirail du camp de son père Théodemir ; point d’autre cortège que sa mère Erelieva qui, par sa tendresse vigilante et ses mœurs simples, prépara ou même hâta le développement de son heureuse constitution »11. En 471, pour contrebalancer le pouvoir de Théodoric Strabon sur l’empire d’Orient, l’empereur Léon Ier renvoie à son père Théodoric, âgé de 18 ans.
Théodoric reconquiert pour le compte de l’empire d’Orient la Mésie en combattant le chef sarmateBabaï qui a traversé le Danube et pris Singidon. A l’insu de son père, il rassemble 6 000 volontaires, rejoint Babaï, le vainc, le tue et reprend Singidon. Couvert de gloire, il rentre auprès de son père avec l’intention de rendre la Mésie à l’empire, mais son père récupère cette terre et l’empereur s’en accommode, préférant l’amitié de ce puissant roi12. Il devient magister militum en 483 et consul l’année suivante.
Âgé d’une trentaine d’années, Théodoric est envoyé en Italie par Zénon pour destituer Odoacre, roi des Hérules, qui, ayant renversé le dernier dépositaire de la charge impériale en Occident en 476, s’affirme comme un vassal de plus en plus remuant. Frédéric, roi des Ruges, se réfugie en Mésie où il incite le roi à se poser en adversaire d’Odoacre. La campagne de Théodoric commence en 488 : l’empereur Zénon concède l’Italie à Théodoric par un brevet solennel13.
Les Ostrogoths battent les Gépides, envahissent la Pannonie et pénètrent en Italie du Nord. Les deux armées se rencontrent sur le fleuve Isonzo et Odoacre, vaincu, se réfugie à Vérone puis à Ravenne14.
Roi des Ostrogoths en Italie
Théodoric marche sur Milanoù le maître des soldats d’Odoacre, Tufa, se livre avec une partie de son armée. En 493, Théodoric occupe l’Italie du Nord avec Milan et Pavie, mais Odoacre contre-attaque avec l’aide de Frédéric, roi des Ruges. Tufa, envoyé se battre contre Odoacre, livre les comtes ostrogoths de son armée à Odoacre à Faenza15.
Théodoric, enfermé dans Pavie, réussit à se libérer de ce siège et fait pendant trois ans le siège de Ravenne où s’est réfugié Odoacre. Il envoie en ambassade le chef du sénat Festus à l’empereur Zénon en espérant recevoir son accord pour être proclamé roi. À la fin du siège, il prend en otage Thélanès, fils d’Odoacre, avant d’entrer dans Ravenne. Il tue lui-même Odoacre ainsi que tous les membres de son armée et leur famille, lors d’un banquet, dix jours après la fin du siège15,14.
L’ambassade de Festus revient après l’annonce de la mort de Zénon— remplacé par Anastase — et les Goths confirment Théodoric comme leur roi sans l’accord du nouvel empereur.
Théodoric fonde un royaume autonome, accordant néanmoins aux Romains la possibilité d’être soumis aux lois et juridictions romaines, tandis que les Goths conservent leurs propres coutumes. L’empereur Anastase Ier le reconnaît comme maître des soldats, investi du gouvernement de l’Italie, mais Théodoric ne veut pas porter le titre de patrice ni celui de maître des soldats. Cependant il porte la pourpre et le diadème, se fait appeler « très glorieux » et est parfois désigné comme Auguste16,17. Il fait frapper des monnaies aux effigies de l’empereur d’Orient. De rares médailles le représentent avec le titre de « prince ».
La culture antique se maintient durant son règne. Le philosophe Boèce entre en 507 au conseil de Théodoric. Il devient consul en 510et sera bientôt la figure la plus en vue du Sénat romain. En 522, il prononce un éloge du souverain, mais finira en prison, deux ans plus tard, accusé de liens avec la cour de Constantinople18.
Un royaume divisé par la religion
Théodoric est de foi arienne. Il mène tout au long de son règne une politique de tolérance, assortie d’une stricte séparation des peuples goths ariens et des Italiens (ou Romains) catholiques. Les mariages entre les deux populations sont interdits. Il organise une hiérarchie militaire gothique sur le modèle de la hiérarchie civile romaine et maintient le système administratif romain19.
Sa politique intérieure navigue entre une bienveillance générale pour le monde romain et une certaine rigueur contre l’opposition orientale derrière le chef du Sénat, Symmaque et Boèce.
Il ne contrôle pas l’élection du pape, mais en 498 il intervient dans le conflit entre Symmaque et Laurent et met fin au conflit au profit du pape Symmaque16.
En 500, il visite Rome pendant six mois et montre de la bienveillance envers les Romains : il va au Sénat, fait des discours au peuple et promet de protéger la civilisation romaine. Il confère le titre de patriceau préfet du prétoire Libérius et donne son poste à Théodorus, fils de Basilius. Il fait décapiter le comte Odoin à l’origine d’une conspiration contre lui20.
Vers 523–525, à la suite d’un schisme avorté entre Rome et l’Église de Constantinople, Boèce et plusieurs sénateurs sont suspectés de communiquer avec l’empereur byzantinJustin Ier, chrétien nicéen, tandis que Théodoric est arien. Boèce défend ouvertement le sénateur Albinus, accusé d’avoir adressé à l’empereur Justin un écrit dénigrant le règne de Théodoric. Albinus et Boèce sont condamnés et tués. Peu après, Symmaque, beau-père de Boèce, est conduit à Ravenne et mis à mort.
Le pape Jean Ier et de nombreux évêques sont envoyés à la cour de Justin pour tenter de ramener à l’arianisme les ariens convertis pendant les persécutions de l’empereur byzantin Justin Ier. Justin refuse et, à son retour, Théodoric rompt avec le pape Jean Ier, le jette en prison et le laisse mourir de faim21. Il persécute alors les catholiques.
Il noue des alliances matrimoniales avec tout le monde barbare. Alaric II, roi des Wisigoths, épouse une de ses filles, Téodegonde Amalasunta des Amales, Ostrogotho Areagni épouse Sigismond, roi des Burgondes. En 500, il donne sa sœur Amalafride au roi des VandalesThrasamund, lors de son voyage à Rome.
De brillants succès militaires
En 504, il envoie le comte Pitzia contre les Gépides du roi Thrasaricqui conquiert la Pannonie et la Dalmatie avec Sirmium. Théodoric conquiert aussi le Norique face aux Bavarois et, après la victoire de Clovis sur les Alamans, intervient pour l’arrêter et place la Rhétie sous sa protection.
En 507, Alaric II, roi des Wisigoths, est tué par Clovis pendant la bataille de Vouillé. Théodoric devient le tuteur du jeune roi wisigoth Amalaric, petit-fils d’Alaric, alors âgé de six ans. Théodoric gouverne en son nom l’Espagne wisigothe jusqu’en 526, en plaçant le gouverneur ostrogoth Theudis à ses côtés22.
Il contient les ambitions franques, défendant les Wisigoths, notamment lors du siège d’Arles en 507 et 508, et il prend le contrôle de la Provence, puis du Languedoc et du Roussillon23. En 524, il participe au premier partage du royaume des Burgondes.
Théodoric meurt de dysenterie en 526. Il laisse derrière lui le souvenir de trente ans de paix pour l’Italie, événement heureux qui ne se répétera pas avant des siècles. Il est enterré à Ravenne, où son tombeau constitue l’un des plus intéressants monuments de la ville (il est couvert d’une énorme coupole monolithe). Après lui, sa fille Amalasonte devient régente pour son petit-fils Athalaric24.
Témoignages contemporains
L’historien et chroniqueur byzantin Procope de Césarée25, qui accompagna pourtant le général Bélisaire lors des guerres contre les Goths, en fait un éloge univoque qui montre probablement la considération dont il jouissait aux yeux de ses sujets italiens : « Il commanda seul sur les Italiens et sur les Goths avec une puissance absolue. Il ne prit néanmoins ni le nom, ni l’habit d’empereur des Romains ; il se contenta de la qualité de roi qui est celle que portent les capitaines des Barbares. Il faut pourtant avouer qu’il a gouverné ses sujets avec toutes les vertus qui sont dignes d’un grand empereur. Il a maintenu la justice, il a établi de bonnes lois, il a défendu son pays de l’invasion de ses voisins, et a donné toutes les preuves d’une prudence et d’une valeur extraordinaire. Il n’a fait aucune injustice à ses sujets ni permis que l’on leur en fît, si ce n’est qu’il a souffert que les Goths aient partagé entre eux les terres, qui avaient été distribuées par Odoacre à ceux qui suivaient son parti. Enfin, quoique Théodoric n’eût que le titre de roi, il ne laissa pas d’arriver à la gloire des plus illustres empereurs qui aient jamais monté sur le trône des Césars. Il fut également chéri par les Goths et par les Italiens, ce qui n’arrive pas d’ordinaire parmi les hommes, qui ont coutume de n’approuver dans le gouvernement de l’État que ce qui est conforme à leurs intérêts, et qui condamnent tout ce qui y est contraire. Après avoir régné trente sept ans, et s’être rendu formidable à ses ennemis, il mourut de cette manière »26.
Mariages et descendance
Giacobbe Giusti, Théodoric le Grand
Théodoric a tout d’abord comme concubine N. de Mésie, née en 463, qui est peut-être l’une des petites-filles d’Attila, d’où :
- Ostrogotho Areagni (475–520)27,28,29. Mariée à Sigismond, fils de Gondebaud, sanctifié par l’Église catholique romaine, roi des Burgondes ;
- Thiudigotho (476–524)30, mariée à Alaric II, roi wisigoth d’Hispanie de 484à 507.
Veuf, Théodoric se remarie avec Audofleda (469–535), fille de Childéric Ier, sœur de Clovis Ier vers 493. Ils sont les parents de :
- Amalasonte (494–535)31qui épouse le prince amaleEutharic. Ce prince meurt bientôt, laissant un jeune fils nommé Athalaric, dont Théodoric fait son héritier. Amalasonte, jeune veuve depuis 522/523, gouverne pendant la minorité d’Athalaric (à partir de 526), et se remarie avec Théodat, qui, l’année suivante, la fait étrangler sur une île du lac de Bolsena.
Avec une certaine Theodora, Théodoric a une fille :
Dans les mythes germaniques
Théodoric le Grand est une figure légendaire dans la mythologie germanique, connu sous le nom de Dietrich de Berne (Bern est le nom en haut-allemand médiéval de la ville de Vérone où il avait une de ses résidences). Roi légendaire de Vérone, ses premiers exploits sont rapportés dès le ixe siècle dans la Geste d’Hildebrand (Hildebrandliedvers 830).
Le cycle de Dietrich ou Dietrichsage est écrit en haut-allemand. Il comprend deux groupes de textes : des épopées historiques comme Alpharts Tod, Dietrichs Flucht ou Ornit, et des épopées d’aventures surnaturelles comme Dietrich und Fasold ou Sigenot. Dietrich apparaît également dans le Nibelungenlied, où il combat Siegfried trois jours durant, et dans la sagascandinaveThidreksaga, où Dietrich rassemble une dizaine de chevaliers et accomplit de nombreux exploits grâce à son cheval Falke, et ses épées Nagelring, puis Eckenlied. Dietrich, exilé par son oncle, se réfugie chez Attila. Lors de son bannissement, Dietrich est suivi par le fidèle Hildebrand, son maître d’armes. Après un long exil et de nombreuses aventures, Dietrich revient chez lui et retrouve son royaume33.
Dans la littérature contemporaine
Jean d’Ormesson écrit en 1990 une Histoire du Juif Errant, dans laquelle le héros rencontre Odoacre puis Théodoric et tente de les faire pacifier jusqu’au massacre de Ravenne.
Notes et références]
- (en) Cet article est partiellement ou en totalité issu de l’article de Wikipédia en anglais intitulé « Legends about Theoderic the Great » (voir la liste des auteurs).
- Histoire de France par François Eudes de Mézeray [archive].
- Herwig Wolfram, The Roman Empire and its Germanic peoples, University of California Press, 1997, pp. 24-25, Ouvrage en ligne [archive].
- Généalogie de Thiudimir sur le site Medieval Lands [archive].
- A.H.M. Jones & J.R. Martindale, The Prosopography of the Later Roman Empire, Vol II (AD 395 – 527), Cambridge University Press, (1971 – 1980).
- Jordanès, Histoire des Goths.
- A.H.M. Jones & J.R. Martindale, The Prosopography of the Later Roman Empire, Vol. II (AD 395 – 527) (1971 – 1980).
- Edward Gibbon, Leclerc de Sept-Chênes, Histoire de la décadence et de la chute de l’empire romain, tome 9, Paris, Moutard, , 476 p. (lire en ligne [archive]), p. 200.
- J.R. Martindale, The Prosopography of the Later Roman Empire, volume 2, AD 395-527 p. 1069. Ouvrage partiel en ligne [archive].
- Patrick Périn, « Fin de l’Empire romain d’Occident », Encyclopædia Universalis.
- Litière portée par deux mulets et, plus tard, char à bœufs mérovingien.
- L. M. Du Roure, Histoire de Théodoric le Grand, roi d’Italie, précédée d’une revue …, 1846, librairie Téchener, p. 83.
- Charles Le Beau, Saint-Martin, Marie-Félicité Brosset, Histoire du Bas-Empire… (lire en ligne [archive]).
- Selon l’Anonyme de Valois, p. 49-57.
- André Chastagnol, La fin du monde antique, Nouvelles Éditions Latines, Paris, 1976.
- Anonyme de Valois, p. 49-57.
- André Chastagnol, La fin du monde antique, Nouvelles Éditions Latines, Paris, 1976, p. 58.
- Inscription de Terracine, C.I.L. X 6850-6852.
- Bernard Fontaine, « Le royaume ostrogoth de Théodoric », Nouvelle Revue d’Histoire, Hors-Série, no 11H, automne-hiver 2015, p. 47.
- Cassiodore, Variæ, I – VI.
- Anonyme de Valois, 64-70.
- Anonyme de Valois, p. 85-93.
- André Chastagnol, La fin du monde antique, Nouvelles Éditions Latines, Paris, 1976. « Pendant 15 ans, dans le royaume wisigoth, les actes sont datés par l’année du règne de Théodoric alors qu’en Italie, on date encore d’après les consuls. »
- Cassiodore, Variæ
- Pierre Riché, « Amalasonthe ou Amalaswinthe (498-535) », Encyclopædia Universalis (en ligne [archive]), consulté le 6 juillet 2014.
- Dans Histoire de la guerre contre les Goths, livre I.
- « Procope : Histoire de la guerre contre les Goths : livre premier (bilingue) » [archive], sur remacle.org (consulté le 14 septembre 2015).
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- Herwig Wolfram, Wolfram, 1997, p. 24, figure 2 et Herwig Wolfram, Wolfram, 1979, p. 203.
- C. W. Previté-Orton sCMH I, p. 132, genealogy table 4 ; Thomas S. Burns, History of the Ostrogoths, p. 96-97 ; Jordanes, Jordanes Getica, XIV-80.
- Paternal Ancestry oH. B. James, Homer Beers James, 1996.
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Bibliographie
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- (en) « Théodoric le Grand », dans Encyclopædia Britannica, 1911 [détail de l’édition][lire en ligne [archive]].
- Histoire de Théodoric le Grand, roi d’Italie, précédée d’une revue …, de Auguste François Louis Scipion de Grimoard-Beauvoir Du Roure de Beaumont-Brison, L. M. Du Roure – 1846 [archive].
- (en)Thomas Hodgkin, Theodoric the Goth, the barbarian champion of civilization [archive], New York, London, G. P. Putnam’s sons, 1891.
- Le Cycle de Dietrich, morceaux choisis, Paris Aubier-Montaigne, 1953. Contient des extraits d’œuvres composant le cycle de Dietrich.
- L’Anonyme de Valois.
- L’empire barbare (tome 2), Théodoric Le Grand, de Gary Jennings, roman historique prenant des libertés, bien assumées par son auteur, avec le déroulement chronologique des événements.